Les productions glamour de Bollywood sont à l'honneur au 3e Salon du cinéma, de vendredi à dimanche à la Grande Halle de la Villette à Paris, avec des spectacles de danse, des animations, des décors et des stars venues des populaires comédies musicales en hindi.Parrain de cette édition, l'auteur du "Fabuleux destin d'Amélie Poulain" et d'"Alien IV", le cinéaste Jean-Pierre Jeunet se dit séduit par ce salon, abrité pour la première fois par la verrière de la Grande Halle de la Villette.
Dans un univers plat, désymbolisé, la question vaut assurément d’être posée. Autrement formulée, elle revient tout bonnement à s’enquérir de ceci : à quoi sert l’art ?
Les lettres cubaines d'Hemingway accessibles en ligne
Cuba a commencé à accepter lundi les requêtes d'internautes souhaitant consulter les archives de l'écrivain américain Ernest Hemingway, qui a vécu ses vieux jours sur l'île.
L'écrivain dramaturge, poète et scénariste anglais, Harold Pinter vient de mourir à l'âge de 78 ans.
Prix Nobel de Littérature en 2005, il n'a eu de cesse de dénoncer l'impérialisme américain et ses exactions en Irak, dans les Balkans, en Amérique latine et à travers le monde.
Son discours d'acceptation du Nobel (voir ci-dessous) en dit long sur son engagement, son courage et sa lucidité sur les enjeux politique de ce monde.
Le Prix Carbet 2008 a été décerné vendredi soir, à titre posthume, à André Schwarz-Bart pour l'ensemble de son oeuvre. C'est l'écrivain et philosophe martiniquais Edouard Glissant, Président du Prix Carbet, qui a remis cette récompense à son épouse, Simone Schwarz-Bart, au cours d'une cérémonie qui s'est déroulée au Conseil Régional d'Ile de France.
Un dossier de 10 pages a été consacré à André Schwarz-Bart dans la dernière livraison de notre magazine (Barack Obama à la Une), actuellement en kiosque.
Après le monumental et renommé ouvrage sur "La peinture en Martinique", lauréat du Prix des Iles du Ponant 2008, voilà que la Région Martinique, à l'initiative de son député de président, vient de présenter un tout aussi magistal ouvrage sur Khokho.
Le peintre, le céramiste, le potier, le rebelle. Pour que l'oubli n'enterre pas une seconde fois Joseph Khokho René-Corail, monument martiniquais.
Voilà la préface d'Alfred Marie-Jeanne de cet ouvrage dirigé par Renée-Paule Yung-Hin.
Interviewé par le Quotidien France-Antilles, l'écrivain Patrick Chamoiseau, scénariste du film, propose de rouvrir le dossier d'André Aliker, un journaliste assassiné par Aubéry, un puissant usinier béké.
"Les Martiniquais ont souvent l'impression que l'oubli c'est fermer les yeux et les oreilles, et refouler le passé, l'oubli est fait du souvenir, l'oxygène de l'oubli c'est le souvenir, et le souvenir le plus sain a besoin des beautés de la justice..."
ALIKER, un film de Guy Deslauriers à ne pas rater.