Samedi 12 juillet 2025 – Place Mgr Roméo Fort-de-France, à l’initiative de MARTINIQUE-ÉCOLOGIE, Rassemblement de soutien au peuple palestinien et aux damnés de l’enclave de Gaza qui, après avoir été dépossédés de leur terre natale et forcés de vivre dans des camps de réfugiés, subissent les assauts de l’armée israélienne y compris en tentant de récupérer une aide alimentaire. Une situation dramatique qui, au-delà des indignations sélectives et des postures de neutralité pose avec acuité la question de la survie de ce peuple et celle de la reconnaissance sans délai de l’existence d’un État palestinien
DIAMANT – 21 MAI 2025 – 19H00. Rendez-vous est pris par Martinique-Écologie au Diamant pour le GAOULÉ 22 MAI 2025, en commémoration de l’abolition de l’esclavage.
Morne-Rouge (Martinique) – 27 septembre 2018. Déclaration publique du Président de la République, Emmanuel MACRON, sur une exploitation agricole en présence d’exploitants agricoles et d’élus martiniquais. « L'Etat doit prendre sa part de responsabilité dans cette pollution et doit avancer dans le chemin de la réparation et des projets ». En introduisant un pourvoi en cassation le 9 mai 2025 contre un récent arrêt visant à établir sa responsabilité fautive, l’État vient d’infliger un cinglant désaveu au … Chef de l’État représenté par le Président Emmanuel Macron. Un chef d’œuvre d’incohérence et une situation pour le moins rocambolesque qui illustrent bien à quel genre d’imbroglio juridique peut conduire des années d’inertie judiciaire où les victimes attendent toujours la réparation de leur préjudice.
Un vent d’anarchie et de populisme souffle aujourd’hui sur la Martinique, nourri par un climat social délétère, une défiance croissante envers les institutions, et un profond sentiment de méfiance et d’abandon. À l’origine, la cause semblait claire et légitime : le coût de la vie, exorbitant, insupportable pour une majorité de foyers martiniquais. Mais ce qui aurait pu rester un combat structuré et solidaire tend désormais à glisser dangereusement vers des formes d’expressions radicales, dominées par la pression populaire, la remise en cause de l’ordre républicain et l’instrumentalisation d’une souffrance réelle par des courants plus radicaux. À qui la faute alors ? À l’État ? Aux élus locaux ? Ou bien à une société qui, lasse d’attendre une diminution du coût de la vie chère , a décidé de prendre les choses en main, quitte à remettre en cause les fondements démocratiques ?
Ecoutez LALIWONDAY sur RADIO-ACTIF, une émission consacrée aux risques sismiques en mémoire des victimes du 11 janvier 1839 (Matinik) et 12 janvier 2010 (Haïti), animée par Jocelyne AMBOISINE-LARCHER & Chantal ALLAGUY SALLACHY.