Plusieurs auteurs et éditeurs de Martinique et des Outre-mer participeront à ce Salon du livre et de l'édition 2014 à la Porte de Versailles à Paris.
Pour la Martinique, bien que peu nombreux sur le stand du Ministère, quelques auteurs martiniquais comme Jala, Suzanne Dracius, Charles-Henri Fargues, Muriel Tramis, Barbara Jean-Elie, Sabine Andrivon-Milton.... y seront en dédicaces.
Tous se retrouveront, avec beaucoup d'autres sur le stand du Conseil Régional de Martinique, qui, cette année encore, sera présent avec des éditeurs et des auteurs martiniquais.
Le 28 Février dernier Fabienne Marajo a fait vibrer Le Grand Carbet
Au rythme du corps qui s’approprie l’espace, Fabienne Marajo cultive la fusion entre danse et psychologie. La chorégraphie puise dans la syntaxe des émotions humaines, le sens de la nuance et du contraste.
Avec cette nouvelle création Fabienne s’attaque aux calamités dans l’air du temps, ces ennemis de la liberté des jeunes pris en étau entre les forces qui œuvrent pour qu’ils soient « à genoux dans les prisons virtuelles de la drogue de l’alcool et de la violence, couchés dans le renoncement, la mise aux enchères d’eux même et la volonté de ne jamais se soumettre. Ils dansent leur espoir dans la solidarité et la fraternité, la résistance. » Leur danse est une prise de position pour vivre mieux. Libres ils sont debout.
Lauréat de l'Oscar du meilleur film, le long-métrage de Steve McQueen est le grand vainqueur de la soirée avec «Gravity», qui remporte l'Oscar du meilleur réalisateur et une moisson de récompenses techniques. PHOTO : Oscar du Meilleur film pour le britannique Steve Mc Queen
Golden Globe 2014 : "12 Years a Slave" sacré meilleur film dramatique
"12 Years a Slave" de Steve McQueen est reparti ce dimanche à Los Angeles avec le Golden Globe du meilleur film dramatique. La plus belle récompense de cette cérémonie pour un film sur un pan de l’histoire du peuple noir au cœur d’une édition qui aura fait la part belle au monde afro en relayant son histoire et en se faisant l’écho du talent des comédiens qui s’imposent sur la scène internationale.
Requiem pour Jean Métellus (1937-2014) Portrait d’un médecin en poète
par Joël Des Rosiers
Montréal, 6 janvier 2014
L’impression, tenace, envoûtante, que la disparition d’un grand homme de lettres et d’un grand médecin, neurologue spécialiste du langage, puise à des eaux profondes, non pas seulement celles de la tristesse ou de l’accablement – non sans que l’inquiétude ne vienne à celui qui se risque à saluer la mémoire du disparu – mais de la certitude que son œuvre contenait en elle-même les racines d’un art médecine et qu’on y retrouvait une langue d’écrivain, sa musique, sa distinction, son entêtement et finalement ce qui est irréductible à tout autre, une écriture. Peu de médecins écrivains ont incarné à ce point la problématique du double déploiement: écrire un poème est chaque fois réapprendre à parler.
L'acteur britannique Idris Elba dans le rôle de Nelson Mandela
En règle générale, le cinéma attend la disparition des personnalités les plus illustres pour leur consacrer des films. Ainsi, Richard Attenborough réalisa-t-il son Gandhi, avec Ben Kingsley dans le rôle du mahatma, en 1982. Soit trente-quatre ans après la mort de ce dernier. Il en va de même s'agissant de Martin Luther King, mort assassiné en 1968 : le film retraçant son histoire est attendu dans deux ans. Il devrait être réalisé par Oliver Stone, produit par Steven Spielberg et interprété par Jamie Foxx.
Dany Laferrière, Immortel, était l’invité d’honneur du Salon International du Livre de Martinique qui s’est tenu en fin de semaine dernière à Fort de France. Il a également présidé le jury du Prix Gilbert Gratiant. Beau coup pour l’Association des Amis de la Bibliothèque Universitaire (AABU) instigatrice de ce Salon qu’elle a co-organisé avec le Conseil Régional.
Académie française : Dany Laferrière nouvel immortel
L'Académie française a élu son nouvel immortel : Dany Laferrière. L'écrivain canadien, né en Haïti, a été élu jeudi 12 décembre au fauteuil de l'auteur d'origine argentine Hector Bianciotti, mort le 12 juin 2012, a annoncé l'institution, dont les statuts n'imposent aucune condition de titre ni de nationalité.