Il me revient l’honneur de présenter le leader de notre mouvement, j’ai nommé Louis Boutrin. Je dis bien « honneur » car il devient de plus en plus rare de trouver dans ce pays des gens qui décident de se battre corps et âme pour une cause en acceptant de recevoir critiques, dénigrements, insultes, voire même parfois agressions physiques. Louis Boutrin fait partie de ceux-là et c’est avec fierté que nous en faisons le leader de MARTINIQUE-ECOLOGIE.
La création d’un parti politique est une cause noble. Certains avaient émis l’idée d’un parti écologique il y plus de 12 ans, sans pour autant pouvoir la sceller. Aujourd’hui, la situation sociale, économique et environnementale du pays nous impose de relever le défi.
LOUIS BOUTRIN LANCE UN NOUVEAU PARTI : MARTINIQUE ÉCOLOGIE
"Appel à un vrai sursaut politique"
Vous lancez Martinique Écologie, alors que vous siégez au Conseil régional sur les bancs du groupe Patriotes et sympathisants. Ne seriez-vous plus sympathisant ?
LOUIS BOUTRIN :Je demeure un sympathisant ! Pour mémoire, j'ai répondu favorablement à l'appel d'Alfred Marie-Jeanne aux régionales pour deux raisons essentielles : d'abord pour avoir travaillé à ses côtés à l'élaboration d'un projet pour la Martinique et aussi pour la confiance que je lui porte. Confiance en sa verticalité, en sa capacité à mettre en place des politiques publiques et surtout à gérer efficacement l'argent des Martiniquais. Mais le fait d'être un sympathisant, ne m'interdit pas pour autant de réfléchir, avec d'autres, à la valorisation de notre potentiel environnemental pour en faire une source de richesse et d'emplois. Cette richesse devra être mieux répartie pour neutraliser ce sentiment d'injustice et d'iniquité qui continue à empoisonner notre vie sociale et économique.
Corps immergé : Les Etats-Unis ont rendu Ben Laden immortel.
Oussama Ben Laden était un des symboles de la contestation de l'Occident et le visage d'Al Qaeda. Sa mort, annoncée par Barack Obama, pose la question essentielle du traitement des « ennemis » des démocraties occidentales et la capacité de celles-ci à respecter leurs engagements en matière de droits de l'homme
Barakc Obama a annoncé la mort du chef d'Al-Qaida.
Le président des Etats-Unis, Barack Obama, a annoncé, dimanche soir 1er mai, que le chef d'Al-Qaida, Oussama Ben Laden, avait été tué au Pakistan par les services spéciaux américains, ce qui met fin à une longue traque de l'auteur des attentats du 11 septembre 2001
France-Antilles des 23,24 et 25 avril annonce fièrement « 20% d’ultramarins en Afghanistan ».
Quand on sait que les ultramarins, comme ils disent, les originaires des colonies comme il convient de dire, représentent à peine 3% de la population globale française, on voit tout de suite, ce que ce chiffre a de disproportionné.
Les nouvelles exigences d'Al-Qaïda au Maghreb Islamique
Les quatre otages français enlevés il y a plus de sept mois au Niger "supplient" Nicolas Sarkozy de retirer les troupes françaises d'Afghanistan dans une vidéo diffusée par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), une demande immédiatement repoussée par Paris
En fin de semaine dernière, une source proche de la médiation en cours avait déjà répété qu'Aqmi exigeait le départ des soldats français d'Afghanistan en plus d'une demande de rançon de 90 millions d'euros, formulée en mars et rejetée par la France.
Plan de relance d’urgence régional triennal 2010/2013 Le président du Conseil régional a annoncé au cours d’une conférence de presse tenue le 14 avril que son plan de relance d’urgence triennal avait « généré » 724 emplois en six mois d’application
Les BRICS - Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud - se sont réunis la semaine dernière en Chine. Les cinq plus gros pays émergents défendent la refonte du système monétaire mondial qui mettra fin à la toute puissance du dollar dans les échanges internationaux.
PHOTO : Le président chinois Hu Jintao (centre), la présidente brésilienne Dilma Rousseff (2e à droite), le président russe Dimitri Medvedev (2e à gauche), le Premier ministre indien Manmohan Singh (1er à gauche) et le président sud-africain Jacob Zuma (1er à droite) se réunissent à Sanyadans la province de Hainan (sud) le 14 avril 2011