C'est mercredi matin que s'est tenue l'assemblée générale du Parc Naturel de Martinique au cours de laquelle Louis BOUTRIN, Conseiller exécutif de la CTM, a été élu président du Conseil syndical. Le nouveau président a rappelé les défis à relever ainsi que les priorités pour les années à venir. Dans son discours d’investiture, il a présenté un projet innovant de CHARTE DE LA MONTAGNE PELÉE et des PITONS DU CARBET, une démarche partenariale visant à mettre en œuvre des actions concrètes pour dynamiser le territoire du Grand Nord.
Le maire bafoue la réglementation qu'il est censé faire respecter...
Décidément, le Maire du Carbet semble prendre quelques distances avec les dispositions règlementaires en matière d’environnement. On se souvient encore du spectacle affligeant de ce dépotoir communal, au beau mitan de l’Habitation Dariste, à deux pas de l’Eglise Saint-Jacques du Carbet. Depuis le Carnaval, c’est la démolition de l’école mixte B qui cristallise tous les commentaires dans la commune. Ébé bondié, sé sa mè-ya fè nou an, alò ! Pouvait-on entendre ici et là.
FRANCE 2 TÉLÉVISION aurait-elle agi de la sorte avec un autre député ou avec l'un des 13 présidents portés à la tête des nouvelles Régions de France ? Nous sommes très curieux de savoir la réaction du gouvernement, du CSA ou du Défenseur des Droits face à l'attitude affligeante et discriminatoire de FRANCE 2 TV vis-à-vis d'un député de la République qui vient d'être plébiscité par les électeurs pour prendre la destinée de la Collectivité Territoriale de Martinique.
Martinique - 8 Janvier 2011. Avis sur le projet de loi relatif à la création des Collectivités uniques de Guyane et de Martinique. Au coeur des débats, une interrogation récurrente sur la fameuse 3ème voie. Ci-joint intervention de Louis BOUTRIN
Mercredi 30 décembre 2015, Conseil Municipal du Carbet. Au cours des questions diverses, l’opposition municipale interpelle le maire PPM sur la démolition de l’Ecole Mixte B située en plein bourg, à proximité la RN2. Le débat tourne autour des travaux pour lesquels on constate une absence d’affichage d’un permis de démolir et sur le sort des panneaux photovoltaïques qui sont encore apposés sur la toiture alors que la démolition dudit bâtiment est largement entamée. S’en suit alors une question sur les retombées pour la commune des installations photovoltaïques. Dans sa réponse, le maire qualifie de « Contrat de Dupe » la convention signée par son prédécesseur, Alexandre MOURIESSE.
Lors de ces échanges, à plusieurs reprises, Jean Claude ECANVIL accuse publiquement Alfred MARIE-JEANNE d’avoir autorisé l’implantation d’une centrale photovoltaïque sur les terres agricoles de Morne aux Bœufs. Accusation récurrente et mensongère s’inscrivant dans le droit fil du MARIE-JEANNE Bashing et du procès politique intenté par les élus PPM de l’ex-Région et qui a provoqué les protestations légitimes de Louis BOUTRIN, conseiller municipal de l’opposition. Une attaque ad hominem d’autant plus insoutenable que c’est le député Alfred MARIE qui est intervenu à l’Assemblée Nationale pour présenter une série d’amendements visant à réglementer les activités des énergies renouvelables et principalement les installations de centrales photovoltaïques
Dans ce pays de cocagne, il n’est pas inintéressant de rappeler, une nouvelle fois, les différents amendements du député Alfred MARIE-JEANNE. Voir à cet effet, la mise au point publiée en octobre 2010 sur cette question sensible de photovoltaïque sur les terres agricoles. LB
Le.nom du directeur de cabinet de Rodolphe Alexandre circule à mesure que l’on se rapproche de la date de la création officielle de la Collectivité Territoriale de Guyane, le 1er janvier 2016.
La.Martinique a tourné la page de la « nouvelle gouvernance » de Serge Letchimy et de son alliance hétéroclite de « Ensemble Pour une Martinique Nouvelle » constituée en grande partie de prébendiers à la recherche de places pour barrer la route au Rassemblement Martiniquais pour le Changement (RMC) mis en place en 2009 pour conquérir l’Autonomie de l’article 74. Pour cela, le président du néo-PPM a mis au placard « l’Autonomie pour la Nation martiniquaise » et a réactivé les peurs de perdre les acquis sociaux pour repousser le 10 janvier 2010 l’Autonomie. Puis, pour conquérir la Région en mars 2010, il s’est lancé dans une démagogie effrénée en promettant de créer 5 000 emplois dans les 2 ans, 30 000 emplois dans les 10 ans dont 9 000 dans le seul secteur du tourisme érigé comme seul « paradis » martiniquais. Par la suite, n’obtenant pas -notamment par ses dits plans de relance- les résultats annoncés imprudemment, il a mis en place une machine à mentir pour travestir la réalité : ce fut la méthode Coué de « la Martinique avance ». La communication a remplacé l’action.