Des pluies d'une abondance exceptionnelle ont provoqué des crues de rivières et des inondations. Imprévisible le ciel ?
Pourtant, en 1998, le professeur Jacques Portecop (UAG - Guadeloupe), après un survol en avion de la Martinique lors d'une mission du Conseil Régional, avait été très clair : Le défrichement des mornes et la bétonisation des plaines risquent de transformer les rivières en torrents avec inondations des bourgs. Sa préconisation : la revégétalisation des bassins versants en commerçant par La Lézarde.
11 ans après, pas l'ombre d'un arbre n'a été planté et le déboisement des mornes s'est accéléré. Sans polémique aucune, il serait temps de mettre en oeuvre les conclusions des travaux de Portecop afin d'atténuer les caprices du ciel.
Plusieurs milliers de sages-femmes ont défilé mardi à Paris pour réclamer que leur formation soit intégrée au cursus universitaire. Une revendication prise en compte par le Sénat, qui a rédigé un amendement au projet de loi sur l'hôpital.
Lourd bilan humain après les fortes trombes d'eau qui s'abattent depuis 3 heures du matin sur l'île.
Routes coupées, ponts affaissés, glissement de terrain, bourgs inondées, notamment sur la côte Atlantique où on dénombre un mort à Sainte-Marie, un homme dont la voiture a été emportée par la rivière.
Même tableau de désolation au Saint-Esprit où une personne handicapée s'est noyée dans sa maison.
Cellule de crise en Préfecture : Les écoles de l'île sont fermées et les examens à l'Université reportés.
Sanofi-Pasteur investit, pure coïncidence, au Mexique
A qui peut bien profiter la grippe ? A ceux qui fabriquent les traitements et les vaccins, pardi.
Certains pensent que les laboratoires pharmaceutiques, à la sombre réputation, savaient que la pandémie pointait son nez. Et que Sanofi Pasteur aurait pour cela investi 100 millionsd'euros dans une usine au Mexique : le leader mondial du vaccin aurait pris position là où est née la grippe afind'engranger de juteux bénéfices, une fois la pandémie déclarée. Une information révélée par Rue89 et qui donne froid dans le dos !
La rumeur gronde : les circuits Elisée s’apprêteraient à jouer la dernière séance du cinéma D’arbaud.
Une page serait-elle en train d’être tournée ? Notre belle ville d’art et d’histoire serait-elle sur le point de perdre une de ses principales structures culturelles ? Plus qu’un simple cinéma, le D’arbaud fait partie de notre patrimoine : il a rassemblé, réuni et diverti des générations de Basse-Terriens. Aucune date, peu de précisions, aucune confirmation mais aucun démenti non plus et la rumeur enfle : le personnel serait sur le départ.
SAUVEZ LE D’ARBAUD ! NON A UNE VILLE SANS CINEMA ! Signez et faites signez la pétition
La chanteuse germano-nigériane a fait un véritable tabac ce week-end à l'Atrium lors de ses 3 concerts où elle enchaîna ses succès alternant un rythme survolté de funk entrecoupé de douces mélodies.
Tombé sous le charme de ses chansons, le public, conquis, n'a eu aucun mal à adopter cette jeune artiste de 29 ans. Ayo sé pa ta yo, Ayo... sé ta nou !
Un livre sur l'Economie et droit des affaires dans la Caraïbe et en Guyane
D'un côté, l'insuffisance des ressources naturelles, l'exiguïté des territoires, l'émiettement et le morcellement des marchés, le sous-développement industriel. De l'autre, les potentialités en matière de tourisme, de ressources de la mer, d'industrie de transformation, d'énergies nouvelles. Fiscalement favorable à l'activité des entreprises, plutôt attractive et compétitive, la Caraïbe subit néanmoins certains déséquilibres...
Le comédien et metteur en scène guadeloupéen Jacques Martial, président du Parc et de la Grande Halle de la Villette depuis septembre 2006, est à l’origine de l’événement Saison créole 2009.
Pour lui, « la Villette est un formidable espace d’énergie, c’est un lieu d’éveil artistique, un lieu d’émergence, un lieu de partage » où les cultures de la Caraïbe et de l’Océan devaient trouver leur place. Une façon de mieux les faire connaître et aussi de pousser la France à s’interroger et réfléchir un peu plus sur sa propre diversité.
Après bien des discussions, un accord a été trouvé entre les héritiers d'Aimé Césaire et la Ville de Fort de France. Le montant de la transaction s'élève finalement à 867 000 € pour cette magnifique villa créole située sur la route de Redoute et qui devrait accueillir la Fondation Césaire.
La vente porte sur la maison ainsi que les parcelles de terrain qui, miraculeusement, ont échappé à la bétonisation anarchique du quartier Redoute.