La question s’adresse à Madame Christine LAGARDE, Ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie,
Madame la Ministre,
L’un des motifs du déclenchement de la grève de février-mars 2009 qui a secoué la GUADELOUPE et la MARTINIQUE était la dénonciation de la cherté de la vie.
Cette préoccupation reste encore d’actualité.
Face à l’acuité du problème, le Gouvernement a rendu opérationnel l’observatoire des prix et des revenus, disposition spécifique aux régions d’outre-mer.
Son Président a été nommé par arrêté du Premier Président de la Cour des Comptes pour une durée de cinq ans, mandat renouvelable une seule fois.
C’est dire l’importance accordée à cet organisme.
Cette importance ne doit pas relever de la seule solennité.
En effet, le problème qui se pose est de savoir quelle est la véritable utilité de cette nouvelle structure ?
La.seule invitation à l'Assemblée Nationale de Zemmour après sa condamnation pour provocation à la haine raciale et à la discrimination raciale était déjà un désaveu au Tribunal. Ses propos visant à la suppression de la Loi Taubira sont une insulte inadmissible à notre mémoire ... en pleine "Année des Outre-Mer". Quant aux applaudissements de Jean-François Coppet, Christian Vanesse et autres dignitaires de l'UMP, ils trouveront un écho dans les urnes lors des prochaines échéances électorales
La SEMAFF, Société d'Economie Mixte d'Aménagement de Fort de France, à nouveau sur la sellette. On se souvient du rapport de la Chambre Régionale des Comptes qui avait épinglé la gestion calamiteuse de la SEMAFF dirigée par un certain ... Serge LETCHIMY.
Devenu président de cette SEM d'Aménagement, l'actuel président de la Région vient de limoger Max TANIC, le directeur général, chargé de la fusion SEMAFF-SEMAVIL (Lamentin). Que reproche-t-il concrètement à Max TANIC ? Où en est cette fusion ? Mystère et boule de gomme !
Spécialiste des effets d'annonce ou de la récupération des projets d'Alfred MARIE-JEANNE, Serge LETCHIMY demeure bien silencieux sur la gestion opaque de la SEMAFF. A-t-il l'intention de lancer un audit sur la gestion de la SEMAFF ? Louis Boutrin
ACTE 1 : L'OPPOSITION EXIGE TOUTE LA TRANSPARENCE SUR "L'AUDIT DE LETCHIMY"
En attendant que l'ex-maire de Fort de France daigne bien commanditer un audit sur l'état financier calamiteux dans lequel il a laissé la Ville-Capitale, l'opposition du groupe des Patriotes Martiniquais et Sympathisants exige que toute la transparence soit faite sur les modalités, le cahier de charge et le coût de "l'audit de Serge Letchimy".
A trois semaines des élections cantonales, l'opposition entend ainsi mettre un frein à l'utilisation des deniers publics pour des campagnes de communication partisane (A quand des sanctions ?).
Ci-joint, la lettre adressée par Daniel Marie-Sainte, chef de file du groupe des Patriotes Martiniquais et Sympathisants, au Président de la Région. L.B.
Quelles que puissent être les divergences politiques existant entre les différents groupes de cette assemblée, nous sommes tous d’accord pour considérer que des réponses urgentes doivent être apportées aux difficultés croissantes des jeunes de notre pays. Nous serons, de même, unanimes –du moins nous l’espérons- à souhaiter que la mise à l’ordre du jour de cette question ne découle pas des besoins d’un banal plan de communication pré-électoral. Notre volonté forte est que les propositions de notre collectivité s’inscrivent dans une démarche pérenne de nature à changer réellement les choses pour les jeunes Martiniquais.
PHOTO : Françoise Larribe a été floutée par les ravisseurs sur la seule preuve de vie du groupe de sept otages.
L'Elysée a confirmé sa libération ainsi que celle du Togolais et du Malgache enlevés en même temps qu'elle et quatre autres Français en septembre, à Arlit. Ces derniers restent aux mains d'al-Qaida au Maghreb islamique
Au Conseil Régional, les conflits d'intérêts se multiplient...
Il y avait déjà le cas de la présidente du CMT, par ailleurs dirigeante d'une agence de voyages en croisière, qui utilise les fonds publics régionaux pour promotionner le tourisme de croisière.
Le clan Kadhafi ne cède pas face à la contestation
Les émeutes ont continué samedi de secouer des régimes autoritaires du monde arabe, avec des dizaines de morts dans la répression policière en Libye, l'occupation par des milliers de Bahreïnis du centre de la capitale et des manifestations violentes au Yémen et à Djibouti.
La contestation a également frappé la Mauritanie et l'Algérie, deux pays du Maghreb où est né le mouvement de révolte qui a chassé du pouvoir le président Zine El Abidine Ben Ali, le 14 janvier en Tunisie, et Hosni Moubarak, le 11 février en Egypte.