Après deux mandats de quatre ans à la tête du Brésil, marqués par un recul de la pauvreté et une forte croissance, celui que tous les Brésiliens appellent "Lula" quittait la présidence samedi avec une popularité record pour céder la place à Dilma Rousseff.
Luiz Inacio Lula da Silva, 65 ans, laisse derrière lui un pays devenu un acteur économique et politique majeur, doté de programmes sociaux modèles, qui accueillera en 2014 la Coupe du monde de football et en 2016 les Jeux olympiques.
L'ex-guérillera succède aujourd'hui au Président Lula.
Dilma Rousseff a été investie ce samedi présidente du Brésil et devient la première femme à diriger le géant sud-américain, succédant au président sortant Luiz Inacio Lula da Silva.
Jeudi matin très tôt, l'avocat français Jacques Vergès a atterri à Abidjan aux côtés de Roland Dumas. L'avocat controversé, connu pour avoir défendu Klaus Barbie, Slobodan Milosevic ou Tarek Aziz, et l'ancien ministre des Affaires étrangères et ex-président du Conseil constitutionnel, ont été invités par le président sortant Laurent Gbagbo
Ultimatum à René Préval de quitter la Présidence le 7 février 2011
Le groupe des 12 [qui ne sont plus que 10] et qui représente 19.37% des suffrages exprimés, a réaffirmé hier mercredi, ses positions à savoir : l'annulation des élections du 28 novembre, le départ du Président René Préval le 7 février 2011 et l'installation d'un gouvernement provisoire en vu d’organiser de nouvelles élections. « Je vous donne la garantie que le 7 février, le peuple installera un nouveau Président, à la tête d’un gouvernement provisoire, en remplacement de René Préval en vue d’organiser les élections » a déclaré Jacques Édouard Alexis.
Permettez-moi tout d’abord d’avoir une pensée pour ceux qui nous ont quittés au cours de l’année 2010, souvent dans des conditions tragiques, emportés par la violence aveugle ou les accidents de la route, qui sont les véritables fléaux de notre société.
Permettez-moi aussi d’exprimer une pensée pour celles et ceux qui, dans notre pays, vivent dans la souffrance, la pauvreté et souvent l’exclusion. Ce sont nos sœurs, nos frères, nos amis, nos voisins immédiats.
La construction d’une société où soient réactivées
les solidarités familiales et de proximité
Mes Cher(e)s Compatriotes,
L’année qui s’achève sera, comme toujours, marquée, un peu partout, par de grands moments de réjouissance !
Je souhaite évidemment que vous soyez très nombreux à en profiter pleinement.
Mais je ne peux, en même temps, oublier toutes celles et tous ceux qui ne pourront participer à la fête. Parce que dans la peine, dans le deuil, dans la solitude ; parce que malades, en situation de précarité voire même en situation d’exclusion
grâce aux ... 28 millions d'euros détournés d'une banque !
Selon le quotidien espagnol El Pais qui publie ce mercredi soir plusieurs notes diplomatiques américaines, près de 28 millions d'euros auraient été détournés de la Banque des Etats d'Afrique centrale (BEAC) par le président gabonais Omar Bongo.
Cet argent aurait profité à des partis politiques français, et plus précisément à NicolasSarkozy.
Certains commentateurs s'étaient quelque peu avancés en qualifiant de "jugement de Salomon", l'arbitrage rendu par Nicolas Sarkozy sur le projet de Collectivité unique de Martinique.
Pourtant, le Communiqué de l'Elysée consécutif à l'entretien accordé aux élus par le Président de la République, le 8 novembre 2010, montrait déjà l'option prise par Nicolas Sarkozy : Niet sur toute la ligne à la proposition de Serge Letchimy de saucissonner la Martinique en 9 circonscriptions, Niet également sur la proposition du président du PPM en faveur d'un scrutin uninominal à l'intérieur de ces circonscriptions.
Le projet de Loi parvenu le 16 décembre dernier vient confirmer le désaveu du Président de la République aux manoeuvres de Serge Letchimy : la Collectivité unique de Martinique devra être installée au plus tard le 1er Juillet 2012.
Si ce n'est pas un camouflet, cela lui ressemble de très près ! LB
Pas fondamentalement pro-Gbagbo mais plutôt antifrançais.
Yaoundé - Cameroun. Dans les rues de Yaoundé, les débats font fureur entre ceux qui dénoncent l'ingérence étrangère dans les élections ivoiriennes et ceux qui critiquent le forcing de Laurent Gbagbo. En octobre 2011, ce sera aux Camerounais d'élire leur président.