Le Ministre du Budget absent à la Grand'Messe de l'Elysée.
Nicolas Sarkozy a annoncé cet après-midi des mesures concernant "le renforcement de la concurrence dans le secteur privé, le développement et la structuration des filières de production locale, et l'amélioration concrète de l'égalité des chances". Devant un parterre de 1100 invités, le chef de l'Etat a dévoilé ses 130 mesures pour l'Outre-Mer, dont 60 spécifiques et 70 mesures transversales.
Curieusement, le Ministre du Budget était absent et toutes les mesures préconisées sont non chiffrées. Ceci devrait clouer le bec de tous ceux qui critiquent le SMDE au motif qu'il ne serait pas chiffré... ce qui est complètement faux !
Le rapport accablant sur les pratiques de grandes entreprises dévoilé
Patrick Karam, délégué interministériel pour l'Égalité des chances des Français d'outre-mer, etSamuel Thomas,président de la Fédération nationale des Maisons des potes etvice-président de SOS Racisme, ont rendu public aujourd'huiun rapport accablant sur les systèmes discriminatoires de recrutement dans les entreprises et dans le marché locatif (cf. en pièce jointe).
Quand Letchimy voulait faire la poche aux contribuables martiniquais.
T.A.O.M. vous connaissez ? C'est l'impôt Letchimy. Une Taxe Additionnelle à l'Octroi de Mer que le maire de Fort-de-France s'apprêtait à faire voter dans le dos des martiniquais grâce à la complicité du Ministre François Baroin et des Députés Alfred Almont et Christiane Taubira. Objet : mettre la main dans la poche des contribuables martiniquais pour payer les "dépenses de centralité" de la Ville-Capital.
Un véritable scandale fort heureusement déjoué grâce à la vigilance à l'Assemblée Nationale du député Alfred Marie-Jeanne.
Si elle venait à être appliquée, cette nouvelle taxe aurait entraîné une augmentation du coût de la vie, un accroissement de l’endettement des ménages et une aggravation des difficultés actuelles des entreprises martiniquaises.
A l'époque, j'avais tenté d'alerter la population en publiant l'article qui suit dans le journal "Le Bâtisseur n°3". Pierre Samot, le directeur de publication s'y était opposé.
En plein débat sur la question de la responsabilité, les partisans du 74 estiment que cet article mériterait d'être porté à la connaissance de nos concitoyens. C'est chose faite ! L.BOUTRIN
Retour au pouvoir du président déchu Manuel Zelaya
Le gouvernement de facto en place au Honduras depuis le putsch du 28 juindernier a cédé à la pression internationale et accepté le retour au pouvoir duprésident déchu Manuel Zelaya.
"Les états généraux étaient une bonne idée de sortie de crise..."
"Les états généraux étaient une bonne idée de sortie de crise, maintenant il faut qu’il y ait une bonne issue à cette sortie de crise, c’est-à-dire des mesures, un programme inscrit dans la durée, un vrai travail auprès des métropolitains sur la compréhension de la réalité ultramarine".
Une déclaration qui ne risque pas de plaire à Nicolas SARKOZY, l'instigateur de ces Etats Généraux de l'Outre-Mer, qui s'apprêtent à prononcer un discours le 6 novembre prochain à l'occasion de la première réunion du Conseil interministériel de l'Outre-Mer.
Un demi siècle d'attente et Letchimy propose... l'expérimentation ! Le Jeudi 24 décembre 1959, le Conseil Général de Martinique adoptait une délibération dont le 10° point constituait une demande de modification du Statut de la Martinique pour une plus grande autonomie.
50 ans plus tard, Serge Letchimy, le président du PPM, appelle les électeurs à faire capoter ce projet tant attendu par le peuple martiniquais. Une position difficilement défendable que des militants PPM de la première heure s'apprêtent à contester en rendant public une déclaration en faveur de l'autonomie dans le cadre de l'Article 74 de la Constitution.
50 ans d'attente et Letchimy propose... l'expérimentation !
Le Jeudi 24 décembre 1959, le Conseil Général de Martinique adoptait une délibération dont le 10° point constituait une demande de modification du Statut de la Martinique pour une plus grande autonomie. 50 ans plus tard, Serge Letchimy, le président du PPM, appelle les électeurs à faire capoter ce projet tant attendu par le peuple martiniquais. Une position difficilement défendable que des militants de la première heure, s'apprêtent à rendre public une déclaration en faveur de l'autonomie de l'Article 74 de la Constitution.
50 ans d'attente et Letchimy propose... l'expérimentation !
Le Jeudi 24 décembre 1959, le Conseil Général de Martinique adoptait une délibération dont le 10° point constituait une demande de modification du Statut de la Martinique pour une plus grande autonomie. 50 ans plus tard, Serge Letchimy, le président du PPM, appelle les électeurs à faire capoter ce projet tant attendu par le peuple martiniquais. Une position difficilement défendable que des militants de la première heure, s'apprêtent à rendre public une déclaration en faveur de l'autonomie de l'Article 74 de la Constitution.