Barack Obama poursuit sa politique de rupture avec son prédécesseur.
Après sa détermination à fermer la base de Guantanamo, créée sous l’ère de George Bush, le président américain a choisi de nommer un remplaçant à l’actuel dirigeant de la Nasa, Michael Griffin, nommé par George W. Bush en 2005.
PHOTO: L'ancien astronaute Charles Bolden (premier rang à droite) a été choisi par Barack Obama pour diriger la Nasa
Le "Pardon", un mot absent du vocabulaire béké qui risque fort d'alimenter les débats lors de la Conférence sur le Préjugé de race aux Antilles qui se tiendra jeudi 28 mai à 18 h 30 à la Bibliothèque Schoelcher. Un thème qui, en tout cas, semble être le nouveau cheval de bataille (ou de Troie ?) de Ségolène Royal qui se lance dans une grande campagne de "Pardon pour l'esclavage et la colonisation".
« On n’est rien sur terre si on n’est pas tout d’abord l’esclave d’une cause, la cause des peuples, la cause de la justice et de la liberté »
Frantz FANON
A celles et ceux qui ont consacré leur vie à la lutte pour la justice et au projet d’uneMartinique verticale.
A nos sœurs et frères qui se battent inlassablement dans les syndicats, les organisations populaires et les partis patriotiques et anti-colonialistes.
Aux militantes et militants, organisés ou non, de la cause martiniquaise. Aux femmes denotre pays sans qu'aucun changement n’est possible, à notre jeunesse qui est aussi notre espoir, à notre peuple...
Barack Obama a défendu sans faiblir sa décision de fermer la prison de Guantanamo jeudi, même si la veille les sénateurs dans une rare unité lui ont refusé un budget de 80 millions de dollars pour mener à bien ce projet.
L'évolution institutionnelle expliquée aux Martiniquais
Dans le cadre de son Atelier de la Responsabilité, le Rassemblement Démocratique pour la Martinique (RDM) organise une conférence débat sur les enjeux de l’évolution institutionnelle et statutaire de la Martinique au sein de la République française. Ce Mercredi 27 mai 2009, à 18 h 30 au Restaurant La Quenette du Diamant, le Maire Conseiller général du Diamant, Gilbert Eustache, vous invite à une réunion d’information publique sur les enjeux de l’évolution institutionnelle et statutaire de la Martinique au sein de la République française.
Le Parti du Congrès au pouvoir en Inde a triomphalement remporté samedi les élections législatives et formera le prochain gouvernement de coalition dirigé par le Premier ministre sortant Manmohan Singh, au moment où le pays traverse une mauvaise passe.
L'architecture de la Collectivité de Martinique définie
Réunie le 2 mai dernier, la Commission ad hoc du Congrès des élus de Martinique, a défini l’architecture de la Collectivité Unique régie par l’Art. 74. : Un Conseil exécutif de 7 à 13 membres, distinct de l’Assemblée de Martinique.
C’est cette proposition qui sera mise en discussion lors du Congrès du 18 juin 2009.
Après l'entrisme des militants UMP dans l'atelier 5 "Gouvernance" et la diabolisation de l'Art. 74, le débat laisse place à la nécessaire clarification : Allocations familiales, RMI, retraites, sécurité sociale, 40%, crédits d’état, crédits européens seront conservés à l'instar de St Barth et de Saint-Martin qui ont opté pour l'Art. 74 de la constitution.
Au soir du Référendum, les Martiniquais garderont leur passeport français et demeureront dans le cadre des Régions Ultra Périphériques de la Communauté Européenne.
C'est en résumé ce que Daniel Marie-Sainte, co-président de cet atelier, a rappelé dans une interview accordée à Karl Sivatte.
Après l’occupation temporaire du Conseil général conduite par le LKP, j’ai beau me tâter, me toucher le front,mesurer ma tension, je n’arrive pas à me sentir choqué plus que de raison...