Manuel VALLS, un raciste qui s'assume !
En balade dans une brocante d'Evry, après avoir croisé un Nègre, Manuel Valls lâche à son directeur de Cabinet, "Voilà l'image de la ville d'Evry.Tu me mets quelques blancs, quelques whites, quelques blancos…". Des propos racistes, non condamnés par la direction du PS, qui s'inscrivent en continuité de ceux de Georges Frêche.
Interrogé au JT de 20 H sur France 2, Manuel Valls, au nom d'un prétendu franc-parler, a déclaré assumer tout à fait ses propos visant à la ségrégation raciale dans sa ville. Nous nous en souviendrons ! VOIR VIDÉO
Manuel Valls était invité mardi dans l'émission "Politiquement parlant" sur Direct 8. Au cours de cette émission, la chaine a diffusé un reportage où l'on voit le député-maire socialiste d'Evry (Essonne) en train de se balader dans une brocante de sa ville.
"Evidemment avec les stands qu'il y avait là, [cela donne, ndlr] le sentiment que la ville, tout à coup, ça n'est que cela (…) que cette brocante, alors que j'ai l'idée au fond d'une diversité, d'un mélange, qui ne peut pas être uniquement le ghetto. On peut le dire ça ?"
Question de la journaliste: "Alors faut-il amener des blancs pour que la ville ait une meilleure image?"
Réponse de Manuel Valls: "Oui, je crois. Mais il faut amener une diversité socialed'abord, parce qu'il est là essentiellement le problème dans une ville comme Evry, qui est une ville qui a évolué, qui est une ville aussi de classe moyenne, mais qui manque d'un centre-ville. Donc, c'est tout le projet de ma ville, d'avoir un véritable centre-ville, qu'on est en train de lancer, et qui permette d'accueillir ces classes moyennes, qu'elles soient issues ou non de l'immigration. Et on a besoin d'un mélange."
"Ce qui a tué une partie de la République, c'est évidemment la ghettoïsation, la ségrégation territoriale, sociale, ethnique, qui sont une réalité. Un véritable apartheid s'est construit, que les gens bien pensants voient de temps en temps leur éclater à la figure, comme ça a été le cas en 2005, à l'occasion des émeutes de banlieues (...) Si on dit les choses clairement en disant: 'Il y a un problème de ghetto', on est bien obligé d'admettre qu'il faut ce mélange là."
"A force de nier les problèmes, on a laissé ces questions à d'autres, parfois aux extrêmes et surtout à la désespérance politique."