Face au renoncement social-libéral et à la menace d’extrême droite
Texte collectif
La déraison et l’inouï se sont emparés du monde. Nous sommes aujourd’hui à un véritable point de bascule civilisationnel. Le règne de la finance folle, l’explosion des inégalités, l’emballement du dérèglement climatique, la montée des intégrismes et le repli xénophobe mettent l’humanité en situation de perdre la maîtrise de son destin collectif. La crise que nous traversons n’est pas seulement économique, sociale, environnementale et démocratique. C’est aussi une crise morale qui piétine les valeurs de notre République. Le choix est simple : inventer ou renoncer ; oser ou mourir. La formule de René Dumont : « l’utopie ou la mort » est plus que jamais d’actualité. Nos concitoyens sont perdus. Ce gouvernement qui se dit de gauche utilise ouvertement le discours ultralibéral de la droite. Il rétrécit notre espace de débat public et a renoncé à modifier le cadre de la construction européenne.
Fini le groupe Front de gauche-Parti de gauche et alternatifs au conseil régional d’Ile-de-France. L’arrivé d’un nouvel élu, Jean-Luc Touly, militant associatif et spécialiste de la corruption et de la gestion de l’eau, auteur de plusieurs ouvrages sur cette question, a provoqué sa transformation en groupe Alternative citoyenne et écologique.
L’Afrique du Sud a confirmé, ce jeudi, qu’elle envisage de quitter la Cour pénale internationale (CPI) après avoir été indexée dans l’affaire Omar el-Béchir. Par ailleurs, ce pays d’Afrique Australe a annoncé des négociations immédiates afin de renforcer les mécanismes africains pour juger les criminels du continent.
Le Premier Ministre n'a pas su situer correctement l'île de La Réunion où il effectuait une visite jeudi.
Est-ce à force de voyager ? Manuel Valls a situé dans l'océan Pacifique l'île de La Réunion, pourtant considérée comme l'une des «perles de l'océan Indien», au détour d'un entretien accordé jeudi à la chaîne locale Réunion 1ère.