J’ai contacté nos riverains en Polynésie française pour connaître leur réaction à la décision des Nations unies de placer à nouveau la région sur la liste des territoires à décoloniser. Portée par le camp indépendantiste, rejetée par Gaston Flosse, à nouveau élu président de la collectivité début mai, la revendication n’a pas l’air de mettre la collectivité à feu et à sang.
La France dénonce une "ingérence flagrante" de l'ONU
L'Assemblée générale de l'ONU a adopté vendredi 17 mai une résolution plaçant la Polynésie française sur la liste des territoires à décoloniser, malgré la défaite des indépendantistes aux dernières élections territoriales et des pressions de Paris.
Adoptée par consensus, la résolution "affirme le droit inaliénable de la population de la Polynésie française à l'autodétermination et à l'indépendance". La France n'a pas participé à la séance et a dénoncé une "ingérence flagrante, une absence complète de respect pour les choix démocratiques des Polynésiens, un détournement des objectifs que les Nations unies se sont fixés en matière de décolonisation" à l'issue du vote.
Doctorante en sociologie à l’UAG, Eugénie T…, originaire du Québec (Canada), réagit à la récente agitation médiatique autour du rapport de la Cour des comptes concernant notre université, institution qui constitue son sujet de thèse…
Une analyse froide des journaux télévisés et radiodiffusés sur le rapport de la Cour des Comptes 2005-2010 laisserait songeur plus d’un.
Le 22 juin 2010, cela fait pratiquement 3 ans, vous nous aviez présenté un plan de relance d’urgence (PRU) pour « …Affronter avec audace et détermination la situation économique» du pays (...C’était le titre d’une grande plaquette du PRU distribuée dans les boîtes aux lettres). A l’issue d’une analyse où vous dénonciez « …La situation dégradée de la quasi-totalité des indicateurs économiques » vous aviez proposé de créer …5 000 emplois, en précisant qu’il faut créer 5 000 emplois « et pour cela, rien ne fonctionne aussi bien qu’une bonne relance de type keynésien ».
Les députés ont voté jeudi soir la suppression du mot "race" de la législation française, un premier pas avant une révision constitutionnelle
L'Assemblée nationale a adopté jeudi une proposition de loi du Front de gauche supprimant le mot "race" de la législation française. La majorité PS s'est ralliée à cette proposition soulignant qu'il s'agissait d'"une première étape". François Hollande s'était en effet engagé pendant la campagne présidentielle à supprimer le mot "race" de la Constitution.
La France annonce qu'elle ne participera pas au vote de l'ONU sur la décolonisation de la Polynésie.
La France ne prendra pas part au vote vendredi 17 mai à l'Assemblée générale de l'ONU d'un projet de résolution sur la décolonisation de la Polynésie française, a indiqué jeudi la mission française auprès de l'ONU. Le texte, présenté par trois petits Etats du Pacifique (îles Salomon, Nauru, Tuvalu) est quasiment assurée d'être adoptée, selon des diplomates. PHOTO : Oscar Témaru
Le.divorce de l’acteur afro-américain Terrence Howard avec Michelle Ghent vient d’être prononcé. Le motif de la séparation est peu habituel. La star américaine déclare avoir été victime de racisme au sein de son propre couple. PHOTO : Terrence Howard et Michelle Ghent.