Martinique. Jessica 24 ans est dans un coma artificiel, grièvement brûlée dans l'incendie de son domicile à Saint-Esprit. D'après les éléments de l'enquête, il s'agirait d'un incendie criminel à la suite d'une dispute avec son petit-ami. Ne soyons plus complices, réagissons. Les hommes antillais souffrent certes de séquelles...Mais, il est temps à présent pour les femmes de refuser l'engrenage de la violence.
La violence, c’est l’absence de réciprocité quand l’un donne tout et ne reçoit rien ; quand la force est toujours dans le même camp. Là commence le piège. Bien avant la gifle.
Le Service de Coopération et d’Action culturelle de l’Ambassade de France à Belo Horizonte (Brésil) recherche un(e) stagiaire de formation Bac + 4/5 en communication, journalisme ou management culturel pour une période comprise de préférence entre le 15/09/2008 et le 15/06/2009. Le stagiaire assistera son maître de stage dans le suivi du montage de projets culturels en vue de l’Année de la France au Brésil en 2009 et participera à la communication du SCAC avec les partenaires brésiliens (presse et universités).
Appel à contributions pour la troisième édition des Journées de la Francophonie de l’Université de Vérone qui a été consacrée, cette année, aux Caraïbes. On s’interrogera sur l’existence d’une culture commune caribéenne, au caractère profondément métissé, et sur ses relations avec l’ici et l’ailleurs (Afrique, Asie, Amérique, Europe).Cette publication prendra la forme d’un numéro spécial Caraïbes de la revue Publif@rum.
Je voudrais réagir à l'article d'un magazine qui m'a profondément choqué.
Il s'agit de 'Guadeloupe: les «allocs braguettes»', nouveau système D ! paru dans le magazine Questions de femmes, n°136, Juin 2008, texte et photos (Laurence d'Hondt).
Le titre peut déjà surprendre, par la subjectivité étiquetée dans la rubrique « Femmes du monde », dans un hebdomadaire à publication nationale.
Mais les injures se développent progressivement, tout au long d'un texte blasphémant les mœurs antillaises, et incitant à la discrimination outre-Atlantique de manière subtilement ficelée!
Un rendez-vous incontournable du mois juillet: le festival de gwoka Bokantaj pou gwoka!
Conférences et lewoz sont programmés du 8 au 14 juillet 2008. 7 jours comme les sept rythmes du Gwo ka. Le festival permettra de faire le point sur les «rencontres guadeloupéennes du gwoka» qui ont été organisées début avril à Baie-Mahault et à Basse-Terre. Elles vont nourrir la réflexion pendant le festival. Le Gwo ka, hier, biten a vié neg, est aujourd'hui assumé et revendiqué comme la colonne vertébrale du patrimoine culturel immatériel de la Guadeloupe. Résultat du combat pour l’existence et la reconnaissance de l’identité guadeloupéenne. Cette rencontre à Sainte-Anne sera l'occasion de s'interroger sur les nouvelles problématiques et de nouveaux enjeux pour Gwoka aujourd'hui. Ka nou ka fè épi'y jodi jou.
Les vacances sont là pour beaucoup... Et adopter un style décontracté est tentant pourtant avouons-le, nous nous bloquons très souvent à la vue du chiffre annoncé par la balance ! Cet objet fétiche de notre salle de bains nous communique toute une série d’idées et de croyances non fondées. À la manière des professeurs lors des conseils de classe, elle nous délivre avertissements, blâmes ou félicitations. Cette machine que l’on croit parfaitement fiable et objective génère ou entretient des idées fausses sur notre relation au corps, au poids et à l’alimentation.
Tous les samedis, ceux qui souhaitent acheter des fruits et légumes bio peuvent se rendre à Saint-Joseph de 06 heures à 12 heures. Y aller : C’est à côté de l’Office du Tourisme, face au terminus des bus Mozaik.
Un espace d’information et de discussion vous y attend.
Même si nous parlons la même langue, nous ne nous comprenons plus. Incivilités, agressivité, dérapages verbaux: la communication semble ne plus passer. Pourquoi ? Ce n’est pas une simple question de forme. Ni de ton, de savoir-vivre ou de morale, c’est bien plus : une urgence de fond ! Parce que nous sommes des êtres de langage, parce que se tient là notre humanité, il nous faut absolument progresser dans nos manières de nous parler. Avec nos amis frères, nos conjoints, nos voisins…Chaque fois, que nous nous lançons dans une discussion musclée, il y a risque d’abîmer la relation.