Quand Letchimy voulait faire la poche aux contribuables martiniquais.
T.A.O.M. vous connaissez ? C'est l'impôt Letchimy. Une Taxe Additionnelle à l'Octroi de Mer que le maire de Fort-de-France s'apprêtait à faire voter dans le dos des martiniquais grâce à la complicité du Ministre François Baroin et des Députés Alfred Almont et Christiane Taubira. Objet : mettre la main dans la poche des contribuables martiniquais pour payer les "dépenses de centralité" de la Ville-Capital.
Un véritable scandale fort heureusement déjoué grâce à la vigilance à l'Assemblée Nationale du député Alfred Marie-Jeanne.
Si elle venait à être appliquée, cette nouvelle taxe aurait entraîné une augmentation du coût de la vie, un accroissement de l’endettement des ménages et une aggravation des difficultés actuelles des entreprises martiniquaises.
A l'époque, j'avais tenté d'alerter la population en publiant l'article qui suit dans le journal "Le Bâtisseur n°3". Pierre Samot, le directeur de publication s'y était opposé.
En plein débat sur la question de la responsabilité, les partisans du 74 estiment que cet article mériterait d'être porté à la connaissance de nos concitoyens. C'est chose faite ! L.BOUTRIN
Le prix Goncourt revient cette année à Marie NDiaye que Les Inrockuptibles avait rencontré au moment de la sortie de son ouvrage récompensé, Trois femmes puissantes.
Vous vous sentez bien dans la France de Sarkozy ? Réponse : « Je trouve cette France-là monstrueuse ».
Vous revendiquez une culture africaine ? Réponse : « La seule chose qui change quand on a une origine africaine, c’est qu’on est noir, c’est visible. Mais c’est tout. J’ai été élevé uniquement par ma mère, avec mon frère, en France ».Décryptage et interview accordée à Les Inrock.com
Retour au pouvoir du président déchu Manuel Zelaya
Le gouvernement de facto en place au Honduras depuis le putsch du 28 juindernier a cédé à la pression internationale et accepté le retour au pouvoir duprésident déchu Manuel Zelaya.
Le prix Goncourt 2009 a récompensé la romancière franco-sénégalaise Marie Ndiaye (42 ans) pour "Trois femmes puissantes", déjà un succès de librairie (140 000 exemplaires ont été vendus) sur les destins croisés de trois femmes, entre France et Sénégal.
Après l'annonce rocambolesque faite aux marins-pêcheurs d'un arrêté préfectoral interdisant la pêche aux embouchures des rivières du littoral martiniquais pour cause de pollution au Chlordécone (... pas possible !!!) c'est au tour des populations de Saint-Pierre et du Nord Caraïbe de faire les frais d'un titre sensationnel en une du France Antilles d'hier.
Le quotidien local a-t-il mesuré l'impact psychologique de sa une sur la population de Saint-Pierre et du Nord Caraibe ?
Après une augmentation graduelle de la sismicité, mercredi, celle-ci a "sensiblement augmenté jeudi, avec 164 séismes localisés sous le sommet du volcan", indique le bulletin quotidien de l’observatoire volcanologique diffusé hier matin (le 29 octobre 2009).
Un bulletin qui reflète le regain d'activité du Piton de la Fournaise mais qui n'inquiète pas outre mesure les Réunions qui ont appris à tirer profit de ce turbulent voisin.
Scène de la vie à Léopoldville - Kinshasa aujourd'hui -, à la fin des années 1950. A Bandai, où vivent les « évolués » (les Belges appelaient ainsi les Africains qui travaillaient pour l'administration coloniale), une dizaine d'enfants sont penchés sur « Tintin au Congo », ouvert à même le sol. Ceux qui savent lire racontent l'histoire aux petits. Ce jour-là est exceptionnel : Tintin et Milou sont chez eux, au Congo !
La prestigieuse université de Harvard, 1° au palmarès de Shanghaï.
Rendue publique vendredi, la version 2009 du palmarès de Shanghaï, qui propose une hiérarchie des 500 premières universités mondiales, était attendue avec impatience comme chaque année en France.
Première classée, l'université Paris-VI grignote deux places par rapport à l'année dernière et atteint le 40e rang. Paris-XI et Normale Sup, les deux seules autres françaises dans le top 100, progressent aussi.
«C'est un frémissement», veut croire Valérie Pécresse, la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Mais les meilleures places sont, comme tous les ans, réservées aux anglaises et surtout aux américaines.
Aux Antilles, il a fallu que les consommateurs excédés descendent dans la rue pour que les services déconcentrés ouvrent ce dossier... avec les résultats que l'on sait. Nous voulons avoir notre mot à dire, dans ce domaine aussi !