Le monde actuel m’interpelle et me laisse perplexe, au point de me donner des sueurs froides dans le dos.
Certains, empressés de répondre hâtivement, diront qu’il en est ainsi, à époques régulières, au rythme des soubresauts importants de l’histoire de l’Humanité. Je veux bien, mais en partie, l’accepter.
C’est la question que beaucoup de journalistes posaient ces derniers temps.
De guerre lasse, ils sont passés à autres choses… laissant cette question sans réponse !
Alimentant une polémique qui n’avait pas lieu d’être, ils pointaient, tous, le doigt en direction de la CTM !
Ils feignaient d’ignorer, volontairement au non, un engagement pris par la CACEM et dont je n’ai cessé de rappeler.
Je reviens donc sur cette question pour livrer à l’opinion de nouveaux éléments qui établissent clairement que la réponse à la question posée, ne peut être donnée que par la CACEM et la CFTU !
Ce lundi 28 novembre 2016 à 14h30 à la Préfecture de Martinique s’est tenue une Conférence Territoriale présentant les résultats suite à l’audition du 11 octobre 2016 de la Mission UNESCO devant les instances du Comité National des Biens Français au Patrimoine Mondial de l’UNESCO à Paris. Cette Conférence Territoriale avait pour objectif de présenter l’argumentaire lié à la validation de la Déclaration de Valeur Universelle Exceptionnelle (DVUE) du Bien ainsi que les prochaines étapes de la procédure. Pour rappel, par courrier en date du 24 octobre 2016, adressé au Président du Parc Naturel de Martinique, Louis BOUTRIN, la Ministre de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer, Madame Ségolène ROYAL a confirmé, suite à l’expertise du Comité national, la « validité des grands principes de la Déclaration de Valeur Universelle Exceptionnelle » du Bien Martiniquais.