‘‘Situé sur le territoire de la commune du Morne Rouge, le Domaine d’Émeraude bénéficie d’un cadre naturel idyllique qui lui confère un caractère unique : ici la nature est restée reine et s’épanouit librement à l’abri des tumultes et des fracas causés par l’Homme…’’
LE DÉPUTÉ A.MARIE-JEANNE DEMANDE AU MINISTRE DE L'INTÉRIEUR DE DÉCRÉTER L'ÉTAT DE CATASTROPHE NATURELLE.
Monsieur Alfred MARIE-JEANNE
Député de la Martinique
Lamentin, le 07 novembre 2015
Le vendredi 6 novembre 2015, la Martinique a été frappée par une violente perturbation pluvieuse et orageuse qui a provoqué de nombreux dégâts dans les communes du Sud et, singulièrement, dans celle de Rivière-Pilote
Malgré l’arrogance et l’attitude irrévérencieuse de Serge LETCHIMY, Mike IRASQUE ne s’est pas laissé démonter et nous a renvoyé à une des missions essentielles de tout journaliste digne de ce nom : le devoir de recherche et du respect de la vérité ! HONNEUR & RESPECT
À.tous. ceux qui ont fait de la communication et du paraître l'alpha et l'omega de leur stratégie de pouvoir, une seule réponse : le choix visionnaire et populaire d'Alfred MARIE-JEANNE et du GRAN SANBLÉ.Voir VIDÉO
Le 30 juillet 2015, Mme Catherine CONCONNE, conseillère régionale de Martinique et 1ère Vice-présidente a été mise en examen pour recel d’abus de biens sociauxdans le cadre d’une procédure visant la société SAGETM VEDETTES MADININA qui compte pour actionnaire son conjoint, M. Eric MONTGERANT, ainsi que son frère, M. Charles CONCONNE.
Du fait de cette procédure pénale et de son instruction en cours, Mme CONCONNE a décidé de démissionner de son mandat d’élue régionale.
Ils.avaient été condamnés à 20 ans de prison mais laissés libres dans l'attente de l'examen de leur appel, en République dominicaine.
PHOTO : Pascal Jean Fauret et Bruno Odos, deux pilotes français lors d'une audience le 4 février 2014 à Higuey en République dominicaine
Condamnés en août à vingt ans de prison en République dominicaine pour trafic de cocaïne, les deux pilotes d’avion français restaient libres en attendant le procès en appel. Mais ils n’avaient pas le droit de quitter l’île. Ils en ont pris la liberté : depuis samedi, Pascal Fauret et Bruno Odos sont en France, comme le Figaro l’a révélé lundi, «non pas pour fuir la justice mais pour chercher la justice», a affirmé leur avocat Me Jean Reinhart.