Charles Savannah vous connaissez ? C'est le patronyme d'un illustre inconnu qui se permet, une fois de plus, de mettre en ligne des propos scandaleux sur notre pays, se permettant de fustiger les représentants démocratiquement élus par le peuple martiniquais qu'il qualifie de "pseudo-peuple".
Même s'il s'agit là, des derniers soubresauts de la bête, à la veille de l'aboutissement d'une revendication légitime des Martiniquais, nous ne pouvons tolérer d'être traités de fascistes par cet énergumène.
N.MANDELA : "Un messager de l'Espoir à la Maison Blanche"
Le Nobel de la Paix Nelson Mandela a salué l'arrivée d'un "messager de l'espoir" à la Maison blanche, en assurant partager "l'exaltation et l'enthousiasme" de l'ensemble des Africains après l'investiture de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis.
publient une lettre à Obama, salué pour son "intuition du monde" et son identité métisse.
A l’'occasion de l’investiture de Barack Obama, les grands écrivains martiniquais Edouard Glissant et Patrick Chamoiseau ont publié une courte "adresse à Barack Obama". Intitulé "L’'Intraitable Beauté du monde", ce texte est dans la lignée poétique, utopique et philosophique du travail de Glissant sur le "Tout-Monde".
C’est par le grand retour de Paskal Vallot, quelques années après la Rue Zabym, que le Centre des Arts de la Guadeloupe débutera l'année 2009. Cette nouvelle création est inédite et elle s’intitule « Solitude, la marronne ». C’est à nouveau une comédie musicale, inspirée du texte d’André Schwartz Bart, qui marquera le lancement une carrière que nous espérons longue, au Centre des Arts.
L’action se déroule en Guadeloupe, pendant la période révolutionnaire s’étalant entre les années 1794 et 1803, et ce spectacle associera à nouveau la féerie d’une mise en scène réunissant danse et théâtre à une nouvelle musique originale de Paskal Vallot.
Les Etats Unis ont violé un arrêt de la Cour de Justice Internationale.
Du pain sur la planche pour Barack Obama qui a promis de changer l'image de l'Amérique. Pour l'heure, c'est l'Etat Gangster qui exécute un Mexicain sans se soucier d'une ordonnance de la CJE, institution que les Américains ne reconnaissent pas.
L’Amérique commémore, lundi, la naissance du chef du mouvement des droits civiques, Martin Luther King.
Une coïncidence qui marque un tournant dans l’histoire de l’Amérique. « J’ai un rêve, que mes quatre enfants habiteront un jour une nation où ils seront jugés non pas par la couleur de leur peau, mais par le contenu de leur caractère », clamait Martin Luther King, le 28 août 1963, devant les marches du mémorial d’Abraham Lincoln, à Washington.
Quarante cinq après son discours, le rêve est il devenu réalité ? Avec l’élection de Barack Obama, 69 % des Afro-Américains estiment que le rêve d’une nation égalitaire du pasteur noir est devenu réalité ?