8 Janvier 2017. Hippodrome de Martinique - Maurice Bruère Dawson. Beau temps ensoleillé, piste souple, public nombreux et enthousiaste, toutes les conditions étaient réunies pour faire de ce 2ème GRAND PRIX DE LA COLLECTIVITE TERRITORIALE DE MARTINIQUE (CTM) un succès populaire et sportif.
C’est RAIPONCE, monté par Rémis CAMPOS, qui remporte cette édition 2017, une épreuve de 2100 mètres dotée de 40.000 euros. Une consécration pour son propriétaire, Patrick PENELOPE, après sa victoire au GP de la REGION GUADELOUPE en juillet 2016. LB
28.septembre 2016. La tempête tropicale MATTHEW frappe sévèrement les Petites Antilles. La Martinique n’est pas épargnée et est placée en vigilance rouge pour fortes pluies, orages, vents violents et mer dangereuse. Les dégâts observés sont considérables : chutes d’arbres, axes routiers et réseaux EDF coupés, établissements scolaires fermés. A l’intérieur des terres, les massifs forestiers ont énormément souffert et l’Office Nationale des Forêts (ONF) procèdent à la fermeture de certains sentiers de randonnées rendus impraticables et dangereux. Sont concernés, principalement, les parcours Grand-Rivière – Prêcheur, la Crabière (entre Lorrain et Basse-Pointe) et le Canal des Esclaves.
31 décembre 2016. Publication dans le quotidien France-Antilles d’un article « Il faut sauver le Canal des Esclaves » où le Parc Naturel de Martinique est directement mis en cause pour son… immobilisme !!!
Au-delà de ces allégations mensongères du quotidien local, le Parc Naturel de Martinique n’étant pas concerné dans ce dossier, les véritables questions méritent d’être abordées avant que ne prospère une quelconque polémique : Qui est le propriétaire du Canal des Esclaves ? Qui a la charge de l’entretien de cet ouvrage patrimonial ?
Le monde actuel m’interpelle et me laisse perplexe, au point de me donner des sueurs froides dans le dos.
Certains, empressés de répondre hâtivement, diront qu’il en est ainsi, à époques régulières, au rythme des soubresauts importants de l’histoire de l’Humanité. Je veux bien, mais en partie, l’accepter.