POUR UNE UNIVERSITÉ DE PLEIN EXERCICE (UPE) EN GUADELOUPE
au service du développement durable du pays
et non instrumentalisée par les réseaux mafieux.
par Philippe VERDOL, maître de conférence en sciences économique à Fouillole
Jusqu’aux accords de Cayenne du 11 novembre 2013, le démantèlement de l’UAG s’est organisé sans consultation de sa gouvernance et avant que celle-ci n’ait jugé utile de lancer un débat intra et inter- polaire au sein de la communauté (enseignants, administratifs et étudiants) antillo-guyanaise. Certains évoquent une affaire d’Etat, un fait colonial, un déni de légalité, voire une offense à la Présidente de l’UAG, ès qualité.
En tout état de cause, celle-ci est traitée comme une quantité négligeable, comme une moins que rien.
Pouvait-il en être autrement ?