Séisme de L'Aquila : prison ferme pour des scientifiques
Sept scientifiques membres de la commission gouvernementale «Grands risques» au moment du séisme meurtrier de L'Aquila ont été condamnés lundi à six ans de prison en première instance par le tribunal pénal du chef-lieu des Abruzzes.
Ces experts ont écopé de six ans de prison pour avoir sous-estimé les risques avant le séisme meurtrier de L'Aquila en 2009, en Italie.
Le juge Marco Billi aggrave le réquisitoire du procureur général qui avait demandé quatre ans de prison pour «homicides par imprudence, désastre et lésions graves».
Il y a la fiction, la série télévisée "Les Experts" avec ses différents avatars (Las Vegas, Miami, Manhattan), où la police scientifique résout les crimes presque à elle toute seule en deux temps, trois mouvements. Et il y a la réalité. Celle-ci se résume depuis quelques semaines à un scandale qui secoue la police scientifique américaine, l'affaire Annie Dookhan. Pendant près d'une décennie, cette jeune femme de 34 ans a travaillé comme chimiste au Hinton State Laboratory Institute, un laboratoire d'analyses de Boston, financé par l'Etat du Massachusetts. Son travail consistait essentiellement à identifier les drogues saisies par la police ou à en rechercher les traces sur les pièces que lui confiaient les enquêteurs.
Dans une région aride de l'Inde, Sadghuru, un maître spirituel, est en voie de réaliser un pari fou d'ici à 2015, grâce à des milliers de bénévoles et l'appui de la Fondation Yves Rocher : planter 114 millions d'arbres.
Une guerre sera "l'arrêt de mort des otages français" menace AQMI
Le nouveau chef d'Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) pour le Sahel et le Sahara, Yahya Abou El Hamame, a affirmé à un média mauritanien qu'une intervention militaire dans le nord du Mali, dont le principe est acquis, signera "l'arrêt de mort des otages français". Six Français sont retenus en otages depuis plus de deux ans au Sahel et se trouvent aux mains d'AQMI. Quatre, travaillant pour Areva et son sous-traitant Satom, une filiale de Vinci, ont été enlevés le 16 septembre 2010 à Arlit (nord du Niger). Deux autres, des géologues travaillant pour une société malienne, ont été capturés au Mali le 24 novembre 2011.
« TRADUIRE EN CREOLE » A LA BIBLIOTHEQUE UNIVERSITAIRE
Martinique. Le mardi 16 octobre dernier s’est tenue dans le cadre des manifestations « KANPIS KREYOL » organisées par la Bibliothèque Universitaire du campus de Schoelcher une conférence-débat à l’initiative de Mme Alice Gradel. Cette dernière avait invité quatre traducteurs en créole à venir présenter leurs publications : Judes Duranty (traducteur de Maryse Condé), Raphaël Confiant (traducteur de « L’Etranger » de Camus), Jean-Pierre Arsaye (traducteur de Maupassant) et Jean-Marc Rosier (traducteur de « Caligula » de Camus). Animée par Karen Lauréote, professeur d’espagnol et doctorante en traductologie, cette conférence a réuni un public intéressé d’environ soixante-dix personnes
Le reportage de Mr Eric Stimpfling diffusé au cours du journal du soir de la 1ére Guadeloupe de ce vendredi 12 octobre présente la banane de la République Dominicaine comme une culture biologique et donc le banole comme ne présentant aucun danger (en l’occurrence, il s’agit du banole HV, commercialisé par TOTAL aux Etats-Unis, et présentant le même numéro d’identification CAS (Chemical Abstracts Services) que le banole utilisé en Guadeloupe), et tout le monde semble être très content.
Carbet. Lundi 15 octobre 2012. A l’appel du syndicat CGTM/SOEM mené par Daniel GROMAT, les services municipaux et la mairie du Carbet ont été bloqués par un mouvement de grève des employés municipaux.
Au cœur des revendications la titularisation des employés municipaux qui tarde à venir malgré les promesses faites par Jean-Claude ÉCANVIL, le maire de la commune, lors de la campagne électorale de 2008.
Lettre ouverte à Monsieur Victorin Lurel, ministre de l’outre mer,
Monsieur le Ministre, cher compatriote.
Nous sommes tous deux fils de la Guadeloupe. Je ne peux donc croire que le sort de la population Guadeloupéenne vous indiffère. C’est la raison pour laquelle je ne m’explique pas votre position constante concernant la question de l’épandage des pesticides aériens en Guadeloupe. Elle est au minimum une capitulation, au pire une trahison de la mission qui est la vôtre.
Votre argument récurrent tient en une phrase :le chantage à la banane.