Ecologie

raisin.celeri.contamines.jpg

En.moyenne, 89% des échantillons de raisins présentaient des marques de pesticides, 88,4% pour des clémentines ou mandarines et 87,7% pour des cerises.

 

Près des trois quarts des fruits et 41% des légumes non bio portent des traces de pesticides quantifiables, les plus touchés étant le raisin et le céleri branche, selon un rapport publié mardi par l'ONG Générations futures.

L'association, qui milite contre les pesticides, se fonde sur des données de la Direction générale de la répression des fraudes (DGCCRF) sur la période 2012-2016 et a retenu 19 fruits et 33 légumes pour lesquels les échantillons étaient représentatifs.

"Pour les fruits, nous avons pu constater, en moyenne, la présence de résidus de pesticides quantifiés dans 72,6% des échantillons analysés", selon un communiqué. Dans 2,7% des cas, ces résidus étaient supérieurs aux limites autorisées. SOURCE : NOUVEL OBS.

Ecologie

pommes.france..jpg

L'association Nationale Pomme Poire (ANPP), qui défend de nombreux arboriculteurs normands voulait interdire à Greenpeace d'utiliser le titre "pommes empoisonnées" aux pesticides dans son rapport sur la contamination des vergers français aux produits phyto-sanitaires.

Politique

cftu.biblio.schoelcher.jpg

 

in.Montray.Kréyol.

Le carnaval est fini, Vaval est mort et enterré et il faut, hélas pour certaines personnes, revenir aux choses sérieuses. Car c'est bien joli de caricaturer ses adversaires politiques en les transformant en "bwabwa" comme la municipalité de Fort-de-France vient de le faire en "commandant" (en réalité, en "commanditant"), comme l'a déclaré Alain ALFRED sur ATV, une effigie à de pseudo-artistes, mais maintenant, il faudrait savoir si soi-même on ne serait pas par hasard un..."babwa".

   Car le même Alain ALFRED, président de la CFTU (Compagnie Foyalaise de Transport Urbain), doit maintenant s'expliquer sur les 5,3 millions d'euros de déficit qu'accuse cette dernière.

 

Politique

LE DECRET RELATIF A LA COMPETENCE DES REGIONS D’OUTRE-MER CTG CTM DANS LA GESTION DES TITRES MINIERS ENFIN PUBLIÉ

par Louis BOUTRIN 

petrole.mer.caraibe.jpg

Attendu depuis plus de 17 ans, le décret n°2018-62 du 2 février 2018 qui fixe les conditions de transfert des compétences de l’Etat vers les Régions d’Outre-Mer et les Collectivités territoriales de Guyane et de Martinique a été publié au JORF le 4 février dernier. C’est une étape décisive qui vient d’être franchie dans l’interminable bras de fer entre l’Etat et les parlementaires & élus des Outre-Mer. En effet, ce décret a pour origine l’article 48, II de la loi n°2000-1207 du 13 décembre 2000 d’Orientation pour l’Outre-Mer (LOOM). Désormais, lesdites Régions et Collectivités concernées sont compétentes pour délivrer des titres miniers en mer concernant l’exploration et l’exploitation d’hydrocarbures liquides et gazeux et des sites géothermiques.

Politique

chlordecone_une-730x411.jpg

Monsieur le Président de l’Assemblée de Martinique

Chers(es) collègues. 


 


Nous avons déjà perdu 11 années depuis que ce scandale d’empoisonnement au Chlordécone a été révélé au grand jour. 


 


Alors aujourd’hui, face au drame humain et aux conséquences calamiteuses annoncées, tant sur le plan environnemental, qu’économique et sociale il n’y a de place ni pour les approximations, ni pour les tergiversations et encore moins pour les accusations tardives ou les tentatives récupérations médiatiques


 


Il nous faut aller à l’essentiel car les Martiniquais qui ont déjà payé un lourd tribut à cet empoisonnement attendent des autorités étatiques des réponses concrètes. 

Politique

stephanmartens.jpg

Compte rendu de lecture : L’école, le dernier rempart ? Carnet de route d’un recteur en Outre-mer de Stephan MARTENS

 

Corinne MENCÉ-CASTER

Sorbonne Université


L’ouvrage intitulé L’école, le dernier rempart ? Carnet de route d’un recteur en Outre-mer, publié aux éditions Jasor en janvier 2017 a été écrit par Stephan Martens qui fut recteur de l’académie de la Guadeloupe de décembre 2011 à décembre 2014.

Composé de treize chapitres et d’annexes remarquablement choisies –sept en tout-, le livre s’étend sur cent-cinquante pages, dont cent onze pages de texte.

Dans un style élégant et didactique, non dénué par endroits d’une certaine veine polémique, Stephan Martens aborde de manière méthodique les questions structurantes de la réflexion sur l’école : la laïcité, l’autorité, les violences scolaires, les réformes, le rôle des syndicats.

 

Société

franc-macons_df_1.jpg

in.Montray Kreyol.org

La santé économique d'un pays se mesure aux chiffres fournis par son organisme statistique officiel (l'INSEE pour la France) : volume des importations et des exportations, nombre de créations d'entreprises et de faillites, solidité de la monnaie nationale, montant de la dette publique etc. La santé intellectuelle d'un pays se mesure aux nombre de brevets déposés, de découvertes scientifiques, de livres publiés dans l'année, de doctorats soutenus etc...Bref, dans chaque secteur, il y a des indicateurs fiables qui permettent de juger si ledit secteur va bien, s'il va mal ou s'il est carrément en danger. 

S'agissant du secteur des médias, il y a certes le nombre d'exemplaires vendus pour les journaux-papier, l'audience mesurée par des organismes spécialisés pour les radios et télévision ainsi que les compteurs de visites pour les blogs et sites-web, mais s'ajoutent à ces données objectives, un certain nombre de principes, enseignés dès la 1è année d'école de journalisme, dont les trois premiers sont les suivants : la neutralité, l'objectivité et la déontologie.