Il.apparaît clairement aujourd'hui que cette longue "grève" du Parc Naturel a été une machination politique pure et simple visant à tenter de déstabiliser la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique).
Je me permets de vous écrire pour vous indiquer que je joins ma voix à celle de la doyenne de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines, ainsi qu’à celle de la doyenne de la Faculté de Droit et d’Économie, s’agissant du compte rendu qui a été donné par le président de l’université de certains points à l’’ordre du jour du Conseil d’Administration du 30 novembre 2017.
Depuis maintenant 50 jours, une poignée d’agents grévistes aidés de la CDMT-CTM, un syndicat non représenté au Parc Naturel de Martinique et donc non légitime pour défendre le personnel de cette institution, utilise des pratiques brutales et violentes dans un conflit qui n’a que trop duré. Des accusations graves à l’encontre de Louis BOUTRIN, Président du PNM, sont relayées allègrement sur les médias sans aucun respect des règles élémentaires de déontologie. Or, les principaux leaders de cette contestation se singularisent par une méconnaissance du dossier qu’il souhaite pourtant défendre d’où la manipulation grotesque bien éloignée des intérêts des 149 agents du PNM.
PHOTO : Au mégaphone, Marcel BOURGADE, militant MODEMAS & NOU PEP LA, agent du PNM, agitateur politique, qui a introduit un recours en annulation contre l'élection d'Alfred MARIE-JEANNE à la CTM. Le Conseil d'Etat l'a débouté. Devant la barrière, Philippe PIERRE-CHARLES, secrétaire général du syndicat CDMT, militant du GRS (Groupe Révolution Socialiste).
CONFUSION ENTRE LE MÉTIER DE JOURNALISTE ET CELUI DE PROPAGANDISTE
par Francis CAROLE
"Ils.seraient près de 1000 sur les 4200 agents que compte la CTM à être payés à ne rien faire depuis des mois".
Voilà ce qu'écrit et diffuse RCI la semaine dernière, au mépris d'un minimum de déontologie en matière d'information et de respect à l'égard du personnel de la Collectivité Territoriale de Martinique.
Le nombre (1000) et les mots sont choisis et entrent dans le cadre de la propagande infâme menée contre la CTM par le neo-ppm et amplifiée par certains journalistes
Lorsque l'on "balance" un tel "kamo", même quand on y met un conditionnel un peu honteux, il faut d'abord s'entourer d'un minimum de précautions déontologiques si l'on veut rester crédible.