Clin d'oeil rhétorique à l'auteur de la Rue Case nègres , hommage, volonté de présenter les grands traits de notre “Grand Sanblé” de ce matin, jour de son anniversaire.
Mon Pays....
Mon pays : meurtri
Mon pays trahi,
Mon pays avili
Mon pays sali
Mon pays affaibli
Ma règle d'or : l'honnêteté, le partage, le respect d'autrui, la fiabilité, la lucidité, la volonté acharnée de servir les martiniquais.
Mon équerre, mon compas : l'école de la responsabilité (Marie-Hélène LEOTIN)
Le respect des uns et des autres quelque soit son camp, la prise de conscience de nos intérêts communs (TOUS), mettre en place un modèle diamétralement opposé à celui qui est actuellement appliqué qui confond engagement en politique et politique de gages : clientélisme, népotisme, pratiques mafieuses (L'Association des Amis du Céregmia).
Ma grande case aux trois entrées : ouvrir la voie à un développement durable, faire face au défi de la transition énergétique en engageant la Martinique vers le développement des énergies renouvelables (L. BOUTRIN), à engager la Martinique vers un véritable développement des entreprises martiniquaises et des activités car actuellement la Martinique vit une véritable récession (fermeture d'entreprises, dépôts de bilan, départs) , considérer le vieillissement comme une opportunité pour la création de nouveaux emplois. Proposer aux pêcheurs fortement touchés par l'interdiction de pêche sur la façade atlantique la mutation d'une pêche artisanale vers une pêche semi-industrielle (L. BOUTRIN). Impulser un développement qui permette la mise en valeur de la biodiversité (A. MARIE-JEANNE), dans le respect de l'environnement. Une politique qui prenne en compte les bouleversements du réchauffement climatique. Une politique qui conduira au désengorgement de la zone centre de la Martinique en menant une véritable politique de transports publics permettant de réaliser un treillage englobant la logique intra-urbaine et la logique inter-urbaine, qui permette ainsi à tous de pouvoir se déplacer (Alfred MARIE-JEANNE, et L. BOUTRIN) et de favoriser ainsi un “droit à la mobilité”). Une politique qui met son énergie au service du transport maritime autant que terrestre et surtout une politique ayant pour préoccupation centrale d'être au service des hommes et du Développement humain, qui prend en compte la lutte contre l'exode des populations qui conduit à l'éparpillement d'une diaspora exaspérée et désespérée dans un pays bloqué où le chômage sévit car les promesses avancées n'ont pas été à la hauteur.
Le bois sacré de mes initiations : S'engager demain pour faire face au déficit de 12 millions d'euros que nous a laissé le roi du Plateau. Impulser des projets structurants que l'ancienne gouvernance n'a pas su développer mis à part la poursuite des projets qui avaient été initiés par Alfred Marie-Jeanne, mettre en place des politiques fiscales adaptées aux défis locaux, restaurer l'image dégradée et dégradante que les politiques en place infligent à la Martinique, Insuffler l'espoir dans un climat de démobilisation et de mécontentement dans un climat social qui se dégrade(G. ERICHOT), et face à l'insécurité.
Ma famille unifiée, soudée (Marie-Hélène LEOTIN), là, unie autour de valeurs, et non d'un homme, autour d'un projet commun, et pas d'un parcours autocratique, pour utiliser l'outil qu'est la CTM , il faudra démontrer sa capacité à faire alliance, à coopérer, à travailler ensemble:
le MIM, Martinique-Ecologie, Le PALIMA, le PC, le CNCP....Ma famille politique, profondément attachée aux principes démocratiques (Cl. LISE), alors que nous assistons dans notre île à un recul dans ce domaine, nous réaffirmons notre détermination à défendre ces principes quand bien-même l'état français lui-même ferait la sourde oreille face à nos inquiétudes.
Ma famille, déterminée à mener la Martinique vers la réussite et à relancer une économie en panne, une économie maltraitée, handicapée par trop de distorsions, à redonner espoir à un peuple désespéré, à restaurer la confiance en une classe politique qui est aujourd'hui discréditée par des pratiques définitivement inquiétantes, à redonner confiance à un peuple inquiet qui s'interroge.
La collectivité de Martinique qui devra gérer un budget colossal de 1, 2 milliard d'euros, on ne peut laisser cette somme entre les mains de personnes qui s'acoquinent avec des groupes suspectés de pratiques mafieuses. Un héritage de 12 millions d'euros de dettes aux martiniquais à éponger. En conservant l'équipe actuelle, il est sûr que la Martinique avance... droit dans le mur !
Car nous ne menons pas une politique en faveur d'un individu ou d'un groupe d'individus, mais bien en faveur du peuple. Pour cette raison, nous nous sommes rassemblés autour de valeurs communes, dans un esprit de partage, à travers une expérience de dialogue. Nous ne sommes pas un “machin”, un “système”, mais un ensemble de volontés acharnées, déterminées à combattre coûte-que-coûte pour protéger les intérêts de la Martinique. Une politique qui redonne à la terre sa dimension nourricière, une politique touristique plus authentique, et surtout un vrai développement humain.
“Je suis venu dire que je reviens”, nous promet Alfred MARIE-JEANNE, je reviens “restaurer la confiance”, Je suis venu rétablir la démocratie, Je reviens pour la “maîtrise des finances publiques”, pour “assurer la transparence”. (…) car un développement sans conscience n'est que ruine du pays Martinique.”