UAG - FACULTÉ DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES : UNE RENTRÉE SOUS LE SIGNE DU RENOUVEAU

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Le Pr Raphaël CONFIANT, doyen de la faculté, a accueilli les 1 400 étudiants

La rentrée des étudiants de 1è année de la Faculté des Lettres et Sciences humaines (campus de Schœlcher) s’est déroulée mardi 3 septembre à l’amphithéâtre Michel Louis. Il apparaît que cette année leur nombre est en augmentation par rapport aux années précédentes en dépit du fait que seuls 25% de nos bacheliers choisissent de s’inscrire à l’UAG, de la baisse inquiétante de la démographie en Martinique (le secondaire a perdu 10.000 élèves sur les dix dernières années) et surtout le «Passeport Mobilité» qui incite les futurs étudiants à partir faire leurs études dans l’Hexagone.


Avec environ 1.400 étudiants, la Faculté LSH est la plus grosse faculté de toute l’UAG (qui en compte 11.000 sur ses trois sites de Martinique, Guadeloupe et Guyane). Elle ne comporte pas moins de 12 filières qui sont: l’anglais, l’espagnol, le créole, les lettres modernes, l’histoire, la géographie, le FLE (Français Langue Etrangère), les Sciences de l’Education, les Sciences de l’Information et de la Communication, la Traductologie, les Arts Caribéens et, tout récemment, la Formation continue. Ces filières sont constituées en département, chaque département ayant un directeur, la faculté elle-même étant dirigée par un doyen qui est actuellement le Pr Raphaël Confiant lequel a remplacé le Pr Corinne Mencé-Caster, devenue présidente de l’UAG.

Cette augmentation du nombre des primo-entrants à la Faculté LSH est le résultat d’une politique vigoureuse visant à présenter l’établissement dans les différents lycées de la Martinique. En mai et juin dernier, en effet, les universitaires sont allés à la rencontre des classes de Terminales, manière pour eux de contrer l’image un peu négative de l’UAG que distille une certaine presse et certains milieux enseignants du secondaire. Avec une forte quantité d’étudiants dotés du bac technique ou du bac professionnel, notre université réussit quand même l’exploit de mettre nombre d’entre eux à niveau, leur permettant de réussir leur cursus, cursus que d’aucuns poursuivent sans difficulté quand ils décident de continuer dans l’Hexagone.

SOURCE : MONTRAY KREYOL