Il.apparaît clairement aujourd'hui que cette longue "grève" du Parc Naturel a été une machination politique pure et simple visant à tenter de déstabiliser la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique).
Depuis maintenant 50 jours, une poignée d’agents grévistes aidés de la CDMT-CTM, un syndicat non représenté au Parc Naturel de Martinique et donc non légitime pour défendre le personnel de cette institution, utilise des pratiques brutales et violentes dans un conflit qui n’a que trop duré. Des accusations graves à l’encontre de Louis BOUTRIN, Président du PNM, sont relayées allègrement sur les médias sans aucun respect des règles élémentaires de déontologie. Or, les principaux leaders de cette contestation se singularisent par une méconnaissance du dossier qu’il souhaite pourtant défendre d’où la manipulation grotesque bien éloignée des intérêts des 149 agents du PNM.
PHOTO : Au mégaphone, Marcel BOURGADE, militant MODEMAS & NOU PEP LA, agent du PNM, agitateur politique, qui a introduit un recours en annulation contre l'élection d'Alfred MARIE-JEANNE à la CTM. Le Conseil d'Etat l'a débouté. Devant la barrière, Philippe PIERRE-CHARLES, secrétaire général du syndicat CDMT, militant du GRS (Groupe Révolution Socialiste).
CONFUSION ENTRE LE MÉTIER DE JOURNALISTE ET CELUI DE PROPAGANDISTE
par Francis CAROLE
"Ils.seraient près de 1000 sur les 4200 agents que compte la CTM à être payés à ne rien faire depuis des mois".
Voilà ce qu'écrit et diffuse RCI la semaine dernière, au mépris d'un minimum de déontologie en matière d'information et de respect à l'égard du personnel de la Collectivité Territoriale de Martinique.
Le nombre (1000) et les mots sont choisis et entrent dans le cadre de la propagande infâme menée contre la CTM par le neo-ppm et amplifiée par certains journalistes
Lorsque l'on "balance" un tel "kamo", même quand on y met un conditionnel un peu honteux, il faut d'abord s'entourer d'un minimum de précautions déontologiques si l'on veut rester crédible.
23.oct. 2017. Luc Louison CLEMENTE « J’ai épuisé toutes les voies de droit pour faire ce que j’ai fait aujourd’hui ». Ainsi s’exprimait le maire de Schoelcher devant les caméras, à l’issue d’un coup de force pour « Libérer sa ville ».
Après une grève de 11 jours qui paralysait crèches et écoles communales, LL CLEMENTE a brisé les chaines et cadenas qui interdisaient l’accès aux services municipaux. Accompagné d’un huissier de justice, de policiers municipaux et de quelques adjoints et conseillers municipaux, le Maire n’avait pas d’autre choix pour mettre fin au climat de tension et à la contestation grandissante de ses administrés, fatigués par une grève qui s'éternisait.
Ce vendredi 17 Novembre, le Comité Syndical Extraordinaire du Parc Naturel de Martinique (PNM) s’est réuni à partir de 10h30 à l’hôtel de l’Assemblée de la Collectivité Territoriale de Martinique en présence de M. Alfred Marie-Jeanne, du président du Conseil Exécutif de la Collectivité Territoriale de Martinique.
Durant les débats qui se sont poursuivis pendant environ une heure après le débat des élus PPM / EPMN, le président Alfred MARIE-JEANNE a pris la parole et a expliqué qu’il a reçu le Directeur Général des Services, en présence de témoins, afin de lui proposer de rejoindre la Collectivité Territoriale mais que le DGS lui a répondu qu’il projetait de créer son entreprise ou de rejoindre la CACEM.
Le Président du Conseil exécutif de la CTM, principal contributeur au budget du Parc Naturel, a rappelé son souhait de voir les perdants d’hier laisser travailler le Président BOUTRIN et son Comité syndical. Il a lancé un appel au retour de la sérénité afin que le personnel puisse travailler dans le calme et la sécurité.
Suite à la lettre envoyée à Marcel Manville, les deux chefs de juridictions de la Cour d’Appel (Premier Président et Procureur Général) ont cru bon se lancer dans une violente réaction à mon encontre. Leurs propos ne peuvent que rappeler cet adage, « tout ce qui est excessif devient insignifiant ».
Je n’entends pas me lancer dans une polémique avec ces hauts magistrats et fonctionnaires français. Nos objectifs sont différents et nos démarches sont contradictoires. Les chefs de Cour vivent dans une bulle dont l’humain est absent et où ne règnent que des chiffres et des statistiques à respecter ou à réaliser, tenant compte de critères définis à 7000 kilomètres d’ici. Je vise, moi, à ce que la justice rendue dans ce pays Martinique atteigne cet idéal d’humanité.