Los Angeles - Californie (USA) – Le conseil municipal a voté pour remplacer la Journée de Christophe Colomb, un jour férié officiel à Los Angeles, par la Journée des peuples autochtones.
Conseiller Municipal du Carbet, Louis BOUTRIN (Liste Alliance Carbétienne) a demandé au Maire de la commune d'ajouter en questions diverses du Conseil Municipal du Mercredi 17 octobre 2018 un point visant à rebaptiser la "Place de débarquement de Christophe Colomb" en "Place de la rencontre des 2 Mondes".
Il s'agit, à l'instar de la ville de Los Angeles (Californie - USA) et de bien d'autres municipalités dans le monde, de débaptiser une place érigée par la Municipalité du Carbet et CAPNORD à la mémoire du Conquistador. Une revendication récurrente du Conseiller Municipal, choqué comme bien des Martiniquais par l'évocation de Christophe Colomb, chef de file des conquistadors responsables du génocide des peuples amérindiens. Ci-joint, discours prononcé à la Paillote du Bourg du Carbet, le 12 mai 2017.
"Désormais, nous rendrons hommage à une histoire qui remonte encore plus loin que les évènements de 1492". Joe Curtatone, maire de Somerville
Plusieurs villes des États-Unis ont décidé ce lundi d'ignorer le jour férié en l'honneur de Christophe Colomb. Au lieu de célébrer la «découverte» de cet explorateur italien, elles rendent hommage aux peuples autochtones victimes de la colonisation.
Rivière-Salée. 29 sept. 2018. C'est au quartier Maupeau, peu après l'échangeur sud de la commune, que sera implanté le nouveau siège administratif de la Communauté d'Agglomération de l'Espace Sud. Un site qui permettra de regrouper l'ensemble du personnel, actuellement réparti sur plusieurs communes, et qui facilitera l'accueil des administrés des 12 communes de l'agglo. Un projet innovant, Haute Qualité Environnemental (HQE), qui privilégie l'énergie solaire grâce à l'installation de panneaux photovoltaïques, d'un système de récupération de l'eau de pluie pour l'arrosage des espaces verts et de bornes de rechargement pour les véhicules électriques. Une ambition affichée d'Eugène LARCHER, le président de l'Espace Sud, en faveur de la réduction des coûts de fonctionnement en limitant notamment les locations exhorbitantes.
La concrétisation d'une revendication récurrente des Martiniquais
Construit en 1770 par les esclaves pour irriguer les distilleries de Beauregard, Anse Latouche (Carbet), de Blondel et Desfontaines (Saint-Pierre), le Canal des esclaves est un ouvrage hydraulique chargé de mémoire. Il fut laissé à l’abandon après l’éruption de 1902, rouvert en 1955 puis entretenu par l’ex-Département qui l’inscrit au Plan Départemental des Itinéraires de Promenade et de Randonnées (PDIPR). Son entretien est financé par la CTM dans le cadre de ses compétences et responsabilités au titre du PDIPR. La CTM porte également un projet de valorisation du site qui comprend notamment la mise en place d’une muséographie, d’une signalétique, d’un parcours de botanique tropicale et d’un projet d’hydro-électricité d’où sa demande de transfert de domanialité à l’Etat. En effet, suite à un arrêt du 3 mai 2007 de la Cour de Cassation, l’Etat est reconnu comme propriétaire de l’ouvrage hydraulique.
Le vote à l’unanimité de l’Assemblée de Martinique le 21 septembre 2018 est la concrétisation d’une revendication récurrente des Martiniquais. Il permettra au Président de l’Exécutif de finaliser ce transfert, de signer une convention avec le Préfet afin de financer les travaux qui seront réalisés par la CTM. Retour sur un haut lieu de mémoire de l’histoire de la Martinique.
Ainsi donc, sur sa page FB, le professeur Daniel CHOMET nous a gratifié d’une nouvelle leçon en matière de stratégie énergétique. A vrai dire, la vacuité de ses propos voudrait que l’on ne s’y attarde pas trop. Ecarté par Serge LETCHIMY de la liste EPMN aux territoriales, "trahi" par la République en Marche, l’homme est en mal d’existence médiatique alors qu’il brigue la mairie de Schoelcher. Et voilà les vainqueurs du scrutin du 13 décembre 2015 accusés par le valeureux professeur d’avoir détruit l’Agence Martiniquaise de l’Energie (AME). Rien que cela !
L’État condamné à verser la somme de 500 000 euros à la Collectivité Territoriale de Guyane pour la non prise dans le délai imparti du décret relatif à la compétence en matière de délivrance des permis miniers.