Corée du Sud - Une plante nommée Cibotium barometz, en l'occurrence une fougère en voie d'extinction, pourrait bien être la solution pour prévenir l'ostéoporose d'après une étude publiée dans le Journal of Natural Products.
Si elle venait à être exploitée, la Cibotium barametz que l'on trouve sous nos latitudes, pourrait constituer une source inestimable de devises.
La marque de produits d'alimentation pour enfants Blédina (groupe Danone) a annoncé jeudi qu'elle procédait au rappel de certaines préparations pour bébé de 6 à 12 mois à la suite d'un problème de "non-conformité" sur des petits pois qui entrent dans leur composition.
Une étude de douze ans, entre 1994 et 2005, a mesuré le « taux d'imprégnation » au mercure de la population guyanaise. Son bilan vient d'être publié et montre un réel effet de la pollution au mercure, avec huit cas de malformations congénitales et une disparité entre les populations, les Amérindiens étant les plus touchés. Et la situation se dégrade.
L’accouchement d’un homme pour parler de contraception L'Inpes (Institut national de prévention et d'éducation à la santé) ainsi que le ministère de la santé ont dévoilé le troisième acte de leur campagne nationale concernant la contraception, et les grossesses jeunes non-désirées. Ce cinquième volet montre l'accouchement d'un jeune homme dont la mère est partie. Le spot est toujours signé du même slogan : "Faut-il que les hommes soient enceintes pour que la contraception nous concerne tous ?"
Une simple prise de sang pour surveiller les cancers.
USA - Maryland. Il serait possible de suivre l'efficacité des traitements et les éventuelles rechutes par des marqueurs sanguins personnalisés.
La surveillance des cancers traités fait appel à des batteries d'examens pour explorer nombre d'organes afin d'y vérifier l'absence de récidive ou de métastases. Une simple prise de sang pour identifier des cellules cancéreuses spécifiques du malade pourra-t-elle bientôt se substituer à ce lourd arsenal de surveillance ?
Collusion d'intérêt entre le gouvernement et les industries pharmaceutiques ? Surestimation du risque ?
La grippe A a-t-elle servi de paravent à une vaste escroquerie financière ? Deux révélations viennent jeter le trouble sur une vaccination que les autorités sanitaires tentaient, coûte que coûte, d'imposer à la population, y compris aux Antilles et en Guyane.
Jeudi soir, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a demandé aux médecins de ne plus prescrire de sibutramine , l'un des derniers médicaments contre l'obésité encore disponible dans notre pays.
Le tout dans l'attente d'une décision de la Commission européenne après l'avis défavorable rendu le même jour par l'Agence européenne du médicament (EMA), qui recommande de suspendre l'autorisation de mise sur le marché (AMM) de toutes les spécialités contenantde la sibutramine (Sibutral, Reductil, Reduxade et Zelium).«Les risques dépassent les bénéfices», estime l'EMA, ajoutant que la perte de poids est «modeste» et s'estompe vite après l'arrêt du traitement.
Une Sur-Taxe de 75% pour les passagers en Sur-Poids
Les personnes obèses vont prochainement payer près du double du prix normal pour voyager avec Air France-KLM s'ils sont dans l'incapacité de s'asseoir dans un seul siège d'avion, dans le cas où le vol est complet, a annoncé mardi la compagnie. Ces personnes paieront 75% du prix d'un second siège (c'est-à-dire le prix total en enlevant les taxes et les surcharges) en plus du prix complet pour le premier siège occupé, a indiqué à l'AFP une porte-parole, Monique Matze, selon qui la décision a été prise pour des raisons de "sécurité".
Dans les formes légères ou modérées de la maladie, ces médicaments, très prescrits, ne font pas mieux qu'un placebo.
L'efficacité des antidépresseurs est toutefois bien supérieure à celle du placebo, dans les cas de dépressions sévères
Les antidépresseurs sont probablement inutiles chez la grande majorité des patients à qui ils sont prescrits, mais leur efficacité ne fait en revanche aucun doute dans les formes très sévères de dépression. C'est en substance la conclusion de chercheurs américains dans un article publié mercredi dans le Jama (Journal of the American Medical Association).
Philadelphie, États-Unis - Une équipe de chercheurs de l'école de médecine de l'université de Pennsylvanie a découvert le potentiel d'un anticorps sur les cellules cancéreuses de la prostate.
Celui-ci serait capable de traquer et détruire ces cellules, même à un stade avancé de la maladie.