Les cinq meurtriers présumés du syndicaliste guadeloupéen Jacques Bino, abattu sur un barrage à pointe-à-Pitre dans la nuit du 17 au 18 février, étaient entendus samedi au tribunal de grande instance de la préfecture de Basse-Terre.Source ; Reuters.
Il faut rendre à Marie-Jeanne ce qui est à Marie-Jeanne…
Je n’ai jamais été membre du MIM (Mouvement Indépendantiste Martiniquais) et ne suis pas membre du MIM, mais j’ai été scandalisé par les attaques venimeuses lancées contre « Chaben » sous la plume de gens qui n’ont jamais fait de même à l’encontre des politiciens traitres de la Gauche dite classique que je préfère, pour ma part, appeler la Gauche-lapia.
Bonne nouvelle : 51 % des français favorables à l'indépendance des Antilles
Un sondage IFOP tout ce qu’il y a de plus sérieux, diffusé dans la presse parisienne et sur les grandes chaînes de télé ce jeudi 26 février, nous apporte l’une des rares bonnes nouvelles de ce mois de février agité : 51% des Français se déclarent favorables à l’indépendance des Antilles.
La Martinique s’embrase dans un contexte de fragilisation sociale. Les émeutes de ces derniers jours semblent répondre aux bras de fer entre le collectif des syndicats et le grand patronat.
En réalité, les violences urbaines traduisent une situation très complexe qui nécessiterait une analyse anthropologique et sociologique de fond. Il existe aux Antilles un malaise psychique, résultant d’une dépression collective de beaucoup de jeunes, qui s’exprime par la violence.
Pointe-à-Pitre - 25 fév. 2009 : Le gouvernement a proposé d'ajouter 80 euros aux contributions accordées par le patronat. Au total, il ne manquerait que 20 euros sur les 200 €, somme réclamée par les grévistes.
L'école de samba Salgueiro a été sacrée mercredi "championne" des fastueux défilés du carnaval de Rio 2009, dans une explosion de joie de ses supporteurs qui attendaient depuis quinze ans cette nouvelle consécration.
Cette école de samba, aux couleurs rouge et blanche, a été fondée en 1953 dans la favela Salgueiro du quartier de Tijuca, dans la zone nord de Rio, aujourd'hui l'une des plus violentes de la ville.
L'école avait choisi d'exalter le tambour, un instrument fondamental dans la culture brésilienne