Création de 250 habitats pour poissons et crustacés.
Congres, sars, mostelles ou daurades font leur retour dans la rade de Marseille grâce à l'installation de 30.000 m3 d'habitats pour les poissons ou les crustacés.
Durant l'été 2008, près de 30.000 m3 de récifs artificiels ont été immergés dans la rade de Marseille. Près de quatre ans plus tard, «la quinzaine d'espèces commerciales les plus importantes et les plus prisées des pêcheurs - mostelles, congres, sars, daurades…- ont fait leur retour dans la rade», affirment les services techniques de la ville en charge du suivi de ce projet. Même le célèbre mérou ferait lentement son retour.
"Mademoiselle" disparaît des formulaires administratifs
Les "mademoiselle" ont vécu. Ce terme, de même que le "nom de jeune fille" ou le "nom d'épouse", va disparaître des formulaires administratifs, selon une nouvelle circulaire des services du premier ministre publiée mardi 21 février.
Rappelant que"par le passé, plusieurs circulaires ont appelé les administrations à éviter l'emploi de toute précision ou appellation de cette nature", le document souligne que "ces préconisations méritent aujourd'hui d'être réaffirmées et prolongées pour tenir compte des évolutions de la législation".
La situation financière de la Ville est préoccupante
Synthèse généraleAu terme du précédent contrôle de la Chambre, portant sur les années 1990 à 2000, il était apparu que les comptes de la ville de Fort-de-France ne respectaient pas toutes les règles de forme et de fond permettant une compréhension normale de ses opérations budgétaires et garantissant ainsi la sincérité de ses comptes. Malgré cette importante réserve, les comptes de la ville traduisaient cependant une situation financière particulièrement fragile ayant pour origine un excès de charges de
fonctionnement (essentiellement les frais de personnel) qui venait restreindre toutes ses marges de manœuvre.
Dix ans plus tard, malgré certaines améliorations, la situation financière de la
ville comporte encore un certain nombre d’éléments éléments préoccupants.
MOTION EN HOMMAGE AUX OUVRIERS AGRICOLES TOMBES LORS DE LA GREVE DE JANVIER-FEVRIER 1974
(Motion présentée par le Groupe des Patriotes Martiniquais et Sympathisants)
« Le 14 février 1974, une fusillade éclatait sur le plateau de Chalvet à Basse-Pointe, tuant un ouvrier agricole, Renor Ilmany, blessant plusieurs autres ouvriers et militants. Deux jours après, le 16 février, on retrouvait à l’embouchure de la rivière Capot le corps du jeune Georges Marie-Louise. Cet événement a lieu en pleine grève des ouvriers de la banane qui réclamaient l’application de la loi, à savoir le salaire minimum dans l’agriculture.
Lettre ouverte à Laurent Prévost, Préfet de Martinique à propos de l'épandage aérien.
"Nos récentes informations sanitaires sur le BANOLE disponibles sur le site ESIS (European Chemical Substances Information System) et qui n'apparaissaient pas dans le dossier mis à notre disposition par la firme TOTAL, font état d'une dangerosité réelle pour les populations dont la plus grave est le risque cancérigène avéré".
Ainsi dans une lettre ouverte adressée au Préfet de Martinique (VOIR CI-DESSOUS) les médecins "demandent solennellement, au nom du principe de précaution inscrit dans la Constitution depuis mars 2005, d'interdire immédiatement tout épandage aérien avec les produits utilisés actuellement".
Le Primpéran, maintenant, c'est plus pour les enfants
Le célèbre médicament anti-nausées et anti-vomissements vient en urgence d’être interdit en France à tous les moins de dix-huit ans, après près d'un demi-siècle de commercialisation. Une nouvelle décision quasi-incompréhensible de l’Afssap.