Le cinquième Sommet des Amériques sera pour le président américain, Barack Obama, la toute première occasion de rencontrer la plupart des 33 chefs d’État élus démocratiquement d’Amérique latine et des Caraïbes. Washington a constaté la diminution de son influence sur cette région au cours des dernières années et met en place des stratégies pour changer cette tendance.
Ainsi donc, le Président de la République a décrété depuis Paris les Etats Généraux des Outre-Mer.
En Martinique, nous n’étions pas demandeurs. Nous n’avions pas voulu de ces Etats Généraux car nous n’en avons pas besoin.
Depuis 1999*, nous réfléchissons et travaillons auprès de notre peuple pour faire souffler un idéal exigeant.
Mais, maintenant que l’on apprend que ces travaux trouveront une traduction à la fois législative et réglementaire, alors oui, allons-y et réaffirmons à nos gouvernants notre volonté d’un changement institutionnel pour notre pays.
EDF annonce vendredi avoir relevé provisoirement de leurs fonctions deux hauts responsables de la sécurité du groupe, Pascal Durieux et Pierre François, par "mesure de précaution", dans le cadre de l'enquête judiciaire pour espionnage présumé de Greenpeace.
Evo Morales et plusieurs de ses proches collaborateurs avaient entamé une grève de la faim jeudi pour contraindre les parlementaires à adopter une des dispositions de la Constitution approuvée en janvier par référendum qui prévoit des élections en décembre.
Après les ex-otage américains des FARC, c'est au tour de Clara Rojas de livrer sa version des faits et de critiquer sévèrement son ancienne amie Ingrid Betancourt, dont elle fut la directrice de campagne. Des révélations qui écornent considérablement l'image de la Franco-Colombienne.
Élie Domota n'en démord pas. Le porte-parole du LKP a réaffirmé mercredi qu'il ne participerait pas aux états généraux de l'outre-mer qui ont débuté la veille. Ni plus ni moins que la mise à exécution de ce qu'il avait annoncé une semaine auparavant . Élie Domota a donc déclaré mercredi sur Canal+ : "Il s'agit ni plus ni moins que de chercher une caution populaire à des décisions qui sont déjà prises avant."
Un groupe armé qui détient deux travailleuses humanitaires, dont une Française, au Darfour, a menacé, dimanche 12 avril, de les exécuter si Paris n'acceptait pas d'organiser un nouveau procès pour les membres de l'Arche de Zoé.
Après la libération des ravisseurs d'enfants consécutive à la "grâce du Président Idriss Déby", il était fort à parier que des mécontentements finiraient par se manifester d'une manière ou d'une autre.