Contrairement à une information que nous avions mise en ligne en début d'année, le quotidien n'a pas augmenté. Exceptionnellement, pour la numéro spécial consacré à 2008, il coûtait 1€. D'après la rédaction de France Antilles le tarif de 0,80 € n'a pas bougé depuis 2003. C'est presque aussi bien que notre magazine de 56 pages qui se vend 3 € depuis 2000. Mille excuses à nos lecteurs et à la rédaction de France-Antilles. N'était-ce pas Jean Jaurès qui disait : "Le courage c’est de chercher la vérité et de la dire … ".
L'année 2009 a commencé avec son lot de "Bonnes surprises". Au rituel des hausses de janvier, il faudra ajouter France-Antilles, l'unique quotidien de Guadeloupe et de Martinique, qui vient de passer de 0,80 € à 1 € soit 25 % d'augmentation.
Pour un lecteur assidu, c'est près de 61 € d'augmentation soit 401,99 francs sur toute l'année. . . De quoi soigner durablement votre pouvoir d'achat !
Il vous reste à peine quelques jours pour échanger vos billets de 100 francs «Delacroix » contre des euros.Après le 31 janvier 2009, les billets de 100F « Delacroix » ne seront plus échangeables et n'auront donc plus de valeur.
There is no doubt that T&T is in a better position to weather a financial crisis, but just as a rising tide carries all, a falling tide can also suck you in.
President of the T&T Manufacturers’ Association (TTMA), Karen De Montbrun, has warned that T&T could face an unsustainable national budget because of government’s spending plans for next year. She said that the oil price of US$70 a barrel to which the 2008/2009 budget had been pegged remained an area of concern for local manufacturers.
Depuis le début de la crise financière, il est de plus en plus question d'un second accord type Bretton Woods afin de définir un nouvel ordre monétaire international. Mais qu'en est-il exactement de ce fameux accord de Bretton Woods ? Doit-on attendre la fin éventuelle de la crise pour parvenir à un tel accord ?
Photo : L'économiste John Maynard Keynes en juillet 1944 à la conférence de Bretton Woods
L'Inde, le Brésil et l'Afrique du Sud, fustigent l'attitude des pays riches
L'Inde, le Brésil et l'Afrique du Sud, réunis en sommet mercredi à New Delhi, ont fustigé les pays riches pour avoir provoqué, selon eux, la crise financière mondiale qui menace le développement de ces trois puissances émergentes.
Après un article du Canard Enchaîné la semaine dernière mettant en cause la solidité financière de la Caisse d'Epargne, celle-ci avait dénoncé "une campagne de dénigrement gravement irresponsable", et affirmé qu'elle était à "l'abri de la tourmente" sur les marchés.
Le gouvernement et des représentants des banquiers et assureurs ont appelé mardi les Français à ne pas céder à la panique, après le plan de sauvetage du groupe Dexia qui a permis selon la ministre de l'Economie Christine Lagarde d'éviter un "risque systémique".
La tonalité de ces déclarations, même si elles se veulent toujours confiantes, tranche avec les discours rassurants tenus jusqu'à maintenant par les pouvoirs publics français.
Le 20 septembre dernier, la ministre de l'Economie avait notamment assuré que le risque systémique lié à la crise financière internationale était passé.
La nouvelle a fait l'effet d'une véritable bombe. DEXIA, la banque qui finance la Caisse de Dépots et de Consignation et les Collectivités Territoriales a perdu moins 30% à la fermeture de la Bourse de Paris.Une première alerte en France, malgré les propos rassurants du Président Sarkozy, qui risque de s'étendre après la faillite de la banque belge Fortis nationalisée in-extremis durant la journée du lundi 29 septembre 2008.
Sommes-nous à l'abri du scénario catastrophe où les clients ont trouvé porte close en allant à leur banque, fermée pour cause de faillite ?
Mieux comprendre la crise :Nouvelle rubrique économique, nouveau forum, pour tenter de comprendre les tenants et aboutissants de cette crise que nous avons du mal à discerner.
Sept jours qui
ébranlèrent la finance!
La crise financière a connu un tournant majeur dans la semaine qui s’est écoulée entrele dimanche 14 septembre et le vendredi 19 septembre 2008. L’accélération brutale des événements a provoqué leur changement de nature. L’accumulation quantitative des chocs a induit leur transformation qualitative. Les représentations des acteurs se sont révélées tout comme elles se sont brutalement transformées. En ce sens les six journées dramatiques qui vont de l’après-midi du dimanche 14 à la clôture de la séance à Wall Street le vendredi 19 constituent un de ces « moments » historiques où sont testées tout autant les stratégies que les doctrines et les théories qui les sous-tendent.