A force de conjuguer le quotidien avec votre chéri, votre libido se sent un peu moins émoustillée. Allez, pas question de ronronner sous la couette : suivez nos conseils pour réveiller vos sens et vous laisser aller au plaisir.
1. Soignez le décor Une pièce remplie de bric à brac, à vagues relents de poussière, n’incite pas vraiment à la bagatelle. Draps doux dans les motifs qui nous plaisent, petites lampes, bougies parfumées, créeront un cadre valorisant, relaxant et sensuel. Se sentir Shéhérazade en son palais est en général très euphorisant 2. Jouez des préliminaires Si le mot de masturbation nous bloque, alors… jouons sur les mots ! Pensons massages et mise en condition avec une crème parfumée et un gel lubrifiant. Bien connaître son corps et ses réactions permet d’aider son partenaire à nous mener au plaisir, sans tabou. Et hors des sentiers battus ! Nos zones érogènes ne se situent pas toutes au niveau génital ! 3. Osez les fantasmes Eh oui, les fantasmes sont permis ! Et ils provoquent une grande sensation de détente en renvoyant les contraintes du quotidien dans les limbes. On manque d’imagination ? A quoi servent donc les romans érotiques si ce n’est justement à nous proposer des scénarii émoustillants ? Et ce bel homme dont on a croisé le regard dans le métro et qu’on ne reverra jamais ferait un bon support de fantasme, non ? 4. Pratiquez la respiration abdominale Pour gérer le stress, il faut apprendre à respirer par le ventre. Pour accéder au plaisir, c’est le même principe. Tous les jours on s’exerce, comme les chanteurs, à la respiration abdominale. Bouche ouverte, on gonfle ses poumons, puis on expire lentement en comptant jusqu’à six, puis jusqu’à huit, puis jusqu’à… autant qu’on peut. Pendant l’amour, on respire lentement, profondément. Au moment où le plaisir monte, la respiration sert d’accélérateur. 5. Laissez venir le plaisir L’un des fantasmes à laisser au placard, c’est la quête de l’orgasme simultané. Tous les romans à l’eau de rose en fond l’apothéose de l’acte d’amour alors que c’est physiologiquement impossible ou presque, à moins d’une grande complicité née d’une longue expérience du corps de son partenaire. Qui plus est, plus on se fixe des enjeux, moins on se laisse aller et moins on jouit… Source : T.Santé