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Au mitan des années 60 du XXe siècle, un homme suscite l'effroi tout autant que l'admiration à la Martinique et surtout à Foyal, nom affectueux de sa capitale, Fort-de-France.

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Plus de 15 000 entrées, des milliers d´exemples extraits d´oeuvres littéraires créoles anciennes et modernes, des centaines d´expressions idiomatiques, de proverbes et de titim (devinettes), accompagnés de leur traduction en français, tel se présente le tout premier dictionnaire du créole martiniquais.

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Vient de paraître, dans la collection Miniatures, chez Magellan &Co, ce recueil de nouvelles, sous la direction de Alexis Bernaut. Six regards sur la Martinique, telle que nous la vivons en ce début du XXIème siècle.

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L'écrivain chez lui

À l’occasion de la sortie de son dernier essai l’Audace de changer, Louis Boutrin s’exprime dans « l’écrivain chez lui » à propos de son engagement politique et écologique, sa vision sur l’avenir de la Martinique et des enjeux qui traversent le territoire martiniquais.

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Propos recueillis par Frédérique Briard

Dans son dernier roman, "Du Morne-des-Esses au Djebel", Raphaël Confiant interroge la place des soldats antillais dans la guerre d’Algérie, nuance l’engagement fanonien de ses pairs et revient sur la question identitaire. Rencontre.

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En ce tout début d'année 2020, l'écrivain martiniquais Raphaël Confiant publie un roman qui raconte l'épopée de Gabriel De Clieu, celui qui, pour la première fois, a introduit le caféier, dans l'île de la Martinique, en 1720, et du même coup dans ce que l'on appelait le Nouveau Monde... (SOURCE POTOMITAN) 

POTOMITAN : Après avoir évoqué l'univers de la canne à sucre dans trois romans (Commandeur du sucre ; Régisseur du rhum ; La Dissidence), voici que vous vous plongez dans celui du café.

R. CONFIANT : La canne à sucre est, en effet, mon univers d'enfance. Mon arrière-grand-père et mon grand-père du côté maternel étaient petits planteurs de canne et distillateurs de rhum dans la commune du Lorrain, au nord de la Martinique. Nous avions, par contre, comme tout le monde à la campagne, à cette époque, un caféier qui poussait dans notre jardin créole et je revois ma grand-mère en cueillir les baies, les mettre à sécher au soleil, les faire griller, puis les moudre à l'aide d'un petit moulin. C'était, contrairement à la canne, pour notre seule consommation personnelle.

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Fillette Lalo. Fiyèt Lalo. Un récit d'une abomination tropique. Un condensé lourd, épais, visqueux de méchanceté. De mauvaiseté. Une description de l'horreur absolue et pourtant quotidienne, pendant toutes ces années, là, tout près, à côté de chez nous. Juste à côté de nous…

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