ÇA SUFFIT M. FLORENT GRABIN ! AGENT ACTIF USURPATEUR DU COMBAT ÉCOLOGIQUE

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  Ça suffit M. Florent GRABIN !

Agent actif usurpateur du combat écologiste  dans la colonie sous administration franco béké !
Ou le parcours personnel intéressé du président de la prétendue association PUMA


 


Mr Florent GRABIN demeuré francophile, gérant de son entreprise privée, en conflit de voisinage dans les années 1980 avec un autre entrepreneur Mr Y. MONPLAISIR, dans une affaire de terrains sièges de leurs entreprises respectives situées en arrière mangrove du Lamentin a profité pour adhérer à l’ASSAUPAMAR, pour mieux dénoncer un projet dangereusement polluant d’installation d’incinérateur de déchets  combattu bien entendu par l’association historique, mère de la conscience écologiste martiniquaise.


Fin des années 1980, début des années 1990, nouvel adhérant de l’ASSAUPAMAR, tel un infiltré F. GRABIN,  fait partie de ceux qui, avides de « présidence d’association », envieux de la réussite du développement associatif en terme de base sociale de l’ASSAUPAMAR, mais surtout  pathologiquement perturbés par l’évolution vers l’écologie politique de membres dirigeants fondateurs de l’ASSAUPAMAR, nationalistes martiniquais, anticolonialistes, singulièrement jaloux du décoré Koubari étoilé Garcin MALSA, écologiste caribéen de la première heure, écologue, biologiste, Président de l’ASSAUPAMAR devenu élu du Peuple martiniquais et Pt du MODEMAS, ... vont tenter de détruire l’ASSAUPAMAR en créant l’APPELS (dont aujourd’hui on entend plus parler !), en volant une partie des archives de l’ASSAUPAMAR, récupérant et choisissant pour faire tapage des thèmes écologiques généraux déjà pourtant sérieusement  et globalement soulevés et traités par l’ASSAUPAMAR : d’abord parmi eux le thème porteur des risques naturels majeurs, celui frappant et brutal de tremblement de terre ; puis celui de l’eau, des pesticides, …


Mais Florent GRABIN ne réussi pas à être président de l’APPELS, alors il fit sécession au sein de cette association qui n’eut jamais base sociale, pour créer son association dite « écologiste », PUMA, où cette fois ci il se trouve président, certainement à vie, toujours sans base sociale mais là n’est point réellement son but.  Il se saisi alors du thème de la pollution de l’eau, et logiquement débouche sur celui des pesticides, singulièrement du chlordécone en Martinique. Et des médias sous administration et ordre colonial,  ont fabriqué le prétendu « Mr écologie président de PUMA » ;  car il vaut mieux dans l’intérêt colonialiste un faux substitut à l’ASSAUPAMAR (qui  a célébrer ses trente (30) années d’existence et de combats pour la sauvegarde du Patrimoine martiniquais !),  et par exemple pour l’affaire d’intoxication des sols, sous sols, des eaux, de l’air,... et de la biodiversité martiniquaises aux pesticides, singulièrement du chlordécone, et aujourd’hui concernant l’épandage aérien de produit toxiques, faire dans le dilatoire et chercher un maximum à retarder l’échéance d’une prise de conscience mobilisatrice du peuple revendiquant réparation suite à écocide, par diffusion d’un discours écologiste véritable en confrontation et plein contentieux avec les criminels pollueurs empoisonneurs.


 


D’ailleurs Mr PUMA prend bien soin de ne point nommer face à l’opinion martiniquaise les responsables du crime contre le vivant en Martinique ; PUMA fait rôle ! n’est pas en confrontation vraie, et donc n’attaque ni juridiquement (logique « kòd yanm maré yanm ! » pour les véritables écologistes martiniquais puisque face à des tribunaux franco européens), ni devant l’opinion internationale, … les principaux responsables criminels associés membres de la caste béké et Etat colonialiste français.


 


Peut être Mr PUMA avant de mourir comme APPELS, attend t-il en bon colonisé décorations, légion d’honneur française, ... Décorations françaises soit dit en passant proposées et refusées par le Koubari étoilé, écologiste et écologue martiniquais ancien Président de l’ASSAUPAMAR.


 


                                                                                                          Akékakwa


 


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Nou karibéyen, Nou pa té fè Bwa Kay Man, Matouba 1802,..., 22 mé 1848,... Baragwa, ... sèptanm 1870, ... pou sé péyi nou an sèvi létranjé !

 
SOURCE : L'ASSAUPAMAR.ORG 
 
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