Outre le mouvement de migration forcée, des images retracent la vie des esclaves, de leur déracinement jusqu'à leur arrivée sur les plantations. Ils devaient travailler les champs afin de répondre à la demande croissante de denrées comme le sucre, le café, le chocolat, le tabac ou le coton en Europe.
L'exposition fait aussi place aux lieux de mémoire : l'île de Gorée, le Fort anglais de Cape Coast, le fort hollandais d'El Mina et Le Morne, site mauricien nouvellement inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco.
En outre, le visiteur pourra aussi voir des artefacts provenant de bateaux négriers ayant accosté à Maurice tels que le Coureur et le St-Géran, entre autres. L'exposition durera jusqu'au 16 septembre (premier étage du Mauritius Institute).