«Je me suis rendu à la gendarmerie où l’on m’a dit qu’il pourrait s’agir d’une erreur d’écriture.
J’ai aussi envoyé une réclamation au tribunal. J’attends la réponse», a-t-il expliqué à l'AFP. La préfecture du Lot n'était pas, mardi, en mesure de préciser s'il s'agissait d'une erreur d'écriture ou d'une "doublette".
Des centaines d'automobilistes sont victimes d'escrocs qui ne signalent pas l'acquisition d'un véhicule ou copient des plaques d'immatriculation existantes, en faisant ainsi des "doublettes". Ces cas se sont multipliés depuis la mise en place du nouveau système d'immatriculation des véhicules (SIV) en 2009. Le cabinet du Défenseur des Droits (DDD) Dominique Baudis déclarait il y a un mois en avoir traité plus de 400 en 2011 contre 185 en 2010.
L'an dernier, un agriculteur creusois avait reçu trois PV pour des stationnements interdits, soi-disant commis par son tracteur dans le 10e arrondissement à Paris. C'est sur les Champs-Elysées qu'un tracteur appartenant à un agriculteur Ariégeois avait été indûment verbalisé.
SOURCE : AFP/LeParisien