1er Débat :
OBAMA McCAIN
Politique étrangère et sécurité nationale sur fond de crise financière
EXPERIENCE POUR LA MAISON BLANCHEMcCain: "Je ne pense pas avoir besoin de formation pour le poste (de président).
Je suis prêt à le prendre tout de suite".
"J'ai un bilan et les Américains me connaissent bien et savent que je suis indépendant et un franc-tireur au Sénat".
Je ne pense pas que quiconque puisse dire que notre place dans le monde aujourd'hui, la manière dont les enfants à travers le monde considèrent les Etats-Unis, soit la même".
CRISE FINANCIERE
Le problème est que vous utilisez la hache quand il faut le scalpel. Il y a des programmes très importants qui ont besoin d'être financés. Aucun pays sur Terre n'a jamais vu son économie décliner et maintenir sa supériorité militaire. C'est un sujet de sécurité nationale".
Ce n'est pas ainsi que l'on réduit les dépenses à Washington. Voici l'une des divergences fondamentales entre le sénateur Obama et moi-même".
I
RAK, PAKISTAN, AFGHANISTAN, TERRORISME
McCain: "Cette stratégie (de renforts) a été couronnée de succès et nous gagnons en Irak et nous allons revenir au pays dans la victoire et l'honneur"."Nous devons gagner le soutien du peuple du Pakistan, il (Obama) dit qu'il ordonnerait des frappes militaires au Pakistan.On ne fait pas cela, on ne dit pas cela à haute voix".
On ne peut pas bidouiller quand il s'agit de la ligne de front du terrorisme, on ne peut pas bidouiller quand il s'agit de Ben Laden".
"Nous devons nous lancer dans une diplomatie ferme et directe avec l'Iran". Je suis prêt à "rencontrer les personnes de mon choix à un moment et un endroit de mon choix", "si je pense que cela peut contribuer à la sécurité des Etats-Unis".
"Si l'Iran acquiert l'arme nucléaire, c'est une menace existentielle pour Israël et les autres pays de la région parce que les autres pays de la région vont se sentir poussés à l'acquérir aussi".
"Le sénateur Obama a déclaré deux fois au cours de débats qu'il négocierait avec Ahmadinejad, Chavez et Castro, sans conditions".
"Ce qu'ils ont fait en Géorgie est inacceptable".