Violence policière sur un innocent

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Un étudiant en droit passé à tabac par la police

« J'ai vu une masse noire défoncer ma porte et pénétrer dans ma chambre. Un peu après, j'étais assis sur une chaise, menotté. » raconte Patrick Prixain, un étudiant en droit au Campus de Fouillole résidant à la Cite Henri -IV. Arrêté par la police dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat de Jacques Binot, il a été relâché le lendemain à 6 h 30. Les policiers s'étaient trompés ! Un traumatisme que Patrick n'est pas prêt d'oublier.

Nul n'est à l'abri de ces "bavures policières". Mais, qu'en est-il des réparations contre les préjudices subis après de telles violences policières ?