Trente-trois enquêteurs ont passé plus de huit mois sur le terrain. Le document vient seulement d’être livré aux gouvernements du Congo, Rwanda, Burundi, Ouganda et Zimbabwe, ces quatre derniers pays étant intervenus militairement sur le territoire congolais. Le document est explosif en ce sens qu’il apporterait les preuves de massacres commis également par des militaires de l’actuelle armée rwandaise au Congo.