Au 10ème jour de grève au Parc Naturel, le DGS se lâche et laisse tomber le masque : « (…) au-delà du combat juridique et syndical, il y avait un troisième combat : « C’est peut-être le plus déterminant, c’est le combat politique » (FA – 20 oct.17). Et voilà que le DGS, en dépit de son devoir de stricte neutralité, s’enlise dans son terrain de prédilection, la politique !
Pour ceux qu’il avait trompé avec sa tête de pauvre bougre harcelé par le méchant bourreau, la déception est encore plus grande. Quant à ses collègues DGS qui, dans un élan de solidarité, s’apprêtaient à le soutenir, ils commencent à faire machine arrière.
Les choses deviennent encore plus claires à la lecture des noms des signataires d’une lettre rédigée par le DGS en personne. YL MONTHIEUX fait remarquer qu’à quelques exceptions près, on y retrouve les mêmes élus qui avaient voté la mort administrative de l’ancienne DGS de l’ex-Conseil Général.
En effet, on y retrouve quasiment tous les élus de l’opposition EPMN dont certains demeurent traumatisés par le scrutin du 13 décembre 2015. Une situation grotesque orchestrée par Fred LORDINOT qui se voit déjà à la tête d’un complot visant à renverser le président du Parc Naturel. Brûler une telle institution pour vos petits appétits politiques personnels … Que de démesure !
JL.A.