Pas de trêve, en cette période de Toussaint pour BRITHMER et son CHE GUEVARA DE PACOTILLE qui ne savent plus à quel saint se vouer. Écœurés par la zénitude du Président du PNM qui vient de rejeter leur stratégie de pieds nickelés, ils s’activent désespérément sur l’espace public et numérique inondant de graffitis nauséabonds les réseaux sociaux mais aussi les murs, passerelles de rocade, murets de sécurité et points de vue touristiques.
Curieuse attitude de ces vigoureux pourfendeurs d’un prétendu harcèlement moral qui passent quotidiennement leur temps à harceler le Président du Parc Naturel. Pourtant, ce dernier n’a de cesse de rappeler l’existence des voies de recours judiciaires. Le DGS peut donc faire l'économie de cette gesticulation médiatique et faire valoir ses droits devant la juridiction compétente.
Pour des pseudo-écologistes, ils n’ont aucun égard, ni pour la salubrité ni pour l’image du pays. La CTM, propriétaire de ces ouvrages publics, ne leur fera aucun cadeau. Le nettoyage des graffitis a un coût et elle se réserve le droit d’entamer, en cas de récidives, une procédure contre ces auteurs qui ont déjà été identifiés. A bon entendeur salut !
JL. A.