Michel Houellebecq, écrivain de seconde zone comparé à un génie injustement méconnu de la littérature contemporaine comme l’antillais Raphael Confiant, vient d’être récompensé par le prestigieux Goncourt. Mais il faut quand même reconnaître à ce scribouillard, à la réputation surfaite, le don de la titraille. Ainsi, c’est à lui que l’on doit le magnifique titre de roman «Extension du domaine de la lutte».
Un des écrivains les plus prolifiques de sa génération.
Par Tirthankar Chanda
Héritier des grands écrivains des Antilles qui ont su se faire un nom dans la littérature française du XXe siècle, Raphaël Confiant est l’un des écrivains les plus prolifiques de sa génération. Avec La jarre d’or, son vingt-quatrième roman, sans compter ses récits en créole, il revient sur son thème de prédilection, le mystère de l’écriture.
Les ventes des livres lauréats du Goncourt ou du Renaudot décollent. Elles durent jusqu'à Noël.
PHOTO : L'ACADEMIE DU GOUCOURT. De gauche à droite : Françoise Chandernagor, Tahar Ben Jelloun, Patrick Rambaud, Michel Tournier, Edmonde Charles-Roux, Robert Sabatier, Jorge Semprun, Françoise Mallet-Joris, Bernard Pivot, Didier Decoin
Michel Houellebecq a été couronné lundi par le Goncourt, le plus prestigieux des prix littéraires français pour lequel il était régulièrement cité depuis dix ans, pour son roman La carte et le territoire (Flammarion). Les jurés de l’Académie Goncourt ont consacré l’enfant terrible de la littérature française au premier tour par sept voix contre deux à Virginie Despentes pour Apocalypse bébé (Grasset).
Michel Houellebecq a été couronné lundi par le Goncourt, le plus prestigieux des prix littéraires français pour lequel il était régulièrement cité depuis dix ans, pour son roman La carte et le territoire (Flammarion). Les jurés de l’Académie Goncourt ont consacré l’enfant terrible de la littérature française au premier tour par sept voix contre deux à Virginie Despentes pour Apocalypse bébé (Grasset).
Dans son édition du 29 septembre dernier, “Témoignages” a publié un communiqué du Cercle philosophique réunionnais (CPR) montrant notamment l’importance d’un événement culturel et éducatif survenu dans notre pays ces jours-ci. Il s’agit de la publication par une professeure de philosophie d’un livre intitulé : “Des concepts pour penser créole”. Une grande première à La Réunion !
PHOTO : Aude-Emmanuelle Hoareau, docteure en philosophie, auteure du livre “Des concepts pour penser créole”, : « Il est très important d’enseigner le créole à l’école pour penser en créole ».